Sans aucun doute, la séance du jour sera marquée par le rebond des indices. A l’heure où nous écrivons ces lignes, les indices européens évoluent en ordre dispersé. Pour rappel, les Britanniques ont choisi de quitter l’Union européenne à 51,9 % des voix. En conséquence, beaucoup de sujets politico-économiques vont être réexaminés ou suspendus. En Asie, les places boursières ont terminé la séance en ordre dispersé. A Tokyo, l’indice NIKKEI225 a clôturé en hausse de 2,39 % à 15 309,21 points. Du côté du calendrier économique, nous prendrons connaissance de l’indice PMI des services aux Etats-Unis. Décryptage.
La BoE se retrousse les manches !
Suite à la publication des résultats du vote, la paire GBPUSD a touché un plus bas de 31 ans à 1,3225 $ pour une livre sterling. Dans la mesure où le Royaume-Uni tarde à activer l’article 50 du traité de l’union européenne (UE), qui définit les modalités de sortie de l’UE et que le parti Podemos n’a pas réussi à remporter les élections législatives en Espagne. Nous pensons que les indices sont amenés à retrouver leurs niveaux d’avant Brexit à court/moyen terme. Bien sûr, la volatilité restera élevée sur les marchés tant que les incertitudes ne seront pas levées. Enfin, nous surveillerons avec grand intérêt les développements à court terme et espérons que les problématiques européennes seront dénouées.
Pour l’heure, la Banque d’Angleterre (BoE) envisage d’injecter 326 milliards d’euros dans l’économie britannique. Selon Marc Carney, gouverneur de la BoE, « Comme un filet de sécurité et pour soutenir la bonne marche des marchés, la Banque d’Angleterre se tient prête à fournir plus de 250 milliards de livres de fonds additionnels à travers ses opérations normales ». En outre, l’agence de notation Moody’s n’a pas hésité à abaisser la perspective pour la dette souveraine du Royaume-Uni. Selon l’agence, « A plus long terme, si le Royaume-Uni ne parvient pas à trouver des accords commerciaux favorables avec l'UE et d'autres pays, les perspectives de croissance seraient sensiblement plus faible qu'actuellement anticipées.».
Au chapitre des matières premières, le contrat WTI a terminé vendredi en recul de 4,18 % à 47,61 $ dans le sillage des marchés actions. Inutile de le rappeler, le marché du pétrole a souffert du vote en faveur du « Brexit ». En outre, le groupe parapétrolier Barker Hughes a fait état d’une légère contraction de la production de pétrole pour la semaine terminée au 24 juin. En effet, BH a indiqué que le nombre de puits ouvert a diminué à 330 puits, contre 337 la semaine dernière. Pour l’heure, l’actif évolue en tendance baissière en D1 car les prix sont capés par les moyennes mobiles à 7 et 21 périodes. A suivre durant notre Good Morning Market à 10h30 et pendant notre séance de Live Trading à 15h15 !
La BoE se retrousse les manches !
Suite à la publication des résultats du vote, la paire GBPUSD a touché un plus bas de 31 ans à 1,3225 $ pour une livre sterling. Dans la mesure où le Royaume-Uni tarde à activer l’article 50 du traité de l’union européenne (UE), qui définit les modalités de sortie de l’UE et que le parti Podemos n’a pas réussi à remporter les élections législatives en Espagne. Nous pensons que les indices sont amenés à retrouver leurs niveaux d’avant Brexit à court/moyen terme. Bien sûr, la volatilité restera élevée sur les marchés tant que les incertitudes ne seront pas levées. Enfin, nous surveillerons avec grand intérêt les développements à court terme et espérons que les problématiques européennes seront dénouées.
Pour l’heure, la Banque d’Angleterre (BoE) envisage d’injecter 326 milliards d’euros dans l’économie britannique. Selon Marc Carney, gouverneur de la BoE, « Comme un filet de sécurité et pour soutenir la bonne marche des marchés, la Banque d’Angleterre se tient prête à fournir plus de 250 milliards de livres de fonds additionnels à travers ses opérations normales ». En outre, l’agence de notation Moody’s n’a pas hésité à abaisser la perspective pour la dette souveraine du Royaume-Uni. Selon l’agence, « A plus long terme, si le Royaume-Uni ne parvient pas à trouver des accords commerciaux favorables avec l'UE et d'autres pays, les perspectives de croissance seraient sensiblement plus faible qu'actuellement anticipées.».
Au chapitre des matières premières, le contrat WTI a terminé vendredi en recul de 4,18 % à 47,61 $ dans le sillage des marchés actions. Inutile de le rappeler, le marché du pétrole a souffert du vote en faveur du « Brexit ». En outre, le groupe parapétrolier Barker Hughes a fait état d’une légère contraction de la production de pétrole pour la semaine terminée au 24 juin. En effet, BH a indiqué que le nombre de puits ouvert a diminué à 330 puits, contre 337 la semaine dernière. Pour l’heure, l’actif évolue en tendance baissière en D1 car les prix sont capés par les moyennes mobiles à 7 et 21 périodes. A suivre durant notre Good Morning Market à 10h30 et pendant notre séance de Live Trading à 15h15 !