Investing.com - Les bourses européennes étaient mitigées lors des échanges sans tendance claire de ce mardi, alors que le moral se trouvait tout de même quelque peu encouragé par l'espoir de la formation d'un gouvernement de coalition grec, malgré la persistance du spectre d'une aggravation de la crise financière espagnole.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.15%, et le CAC 40 français de 0.1%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.11%.
Les cours se trouvaient encouragés par l'espoir que le parti grec de la Nouvelle Démocratie forme un gouvernement de coalition avec les socialistes du Pasok, ce qui devrait permettre à Athènes de reprendre les négociations avec ses bailleurs de fonds concernant le programme d'aide international.
L'atmosphère s'est également trouvée allégée par l'obtention pour le Fonds Monétaire International de 456 milliards d'USD de fonds internationaux supplémentaires destinés à contrer les effets de la crise de la dette de la zone euro sur l'économie mondiale.
Mais toute velléité d'euphorie était vouée à l'échec, le taux des obligations décennales espagnoles s'étant situé situé à 7.16% en début de matinée, après avoir culminé hier à 7.28%, son plus haut niveau jamais atteint depuis l'introduction de l'euro, dans l'angoisse que les 100 milliards d'euros d'aides au renflouement des banques nationales attribués ce mois-ci ne soient pas suffisants.
L'allemand SAP, premier éditeur de logiciels de gestion d'entreprise au monde, se trouvait dans le peloton de tête, grimpant de 1.03%, après que son collègue américain Oracle ait annoncé que ses revenus du quatrième trimestre s'était élevé à 4.1 milliards d'USD en excluant des frais annexes, dépassant ainsi les espéranes des analystes.
Telecom Italia a pour sa part bondi de 6.98% alors qu'il se disait que des négociations étaient en cours avec la caisse des dépôts et consignations du pays visant la possible séparation de sa branche de téléphonie fixe.
La finance se trouvait par contre en berne, les français Société Générale et BNP Paribas reculant respectivement de 1 et 0.39%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitaient les dégâts à 0.78 et 0.15%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a toutefois conquis 0.45%, tiré vers le haut par des miniers en forme.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi engrangé 1.82 et 0.75%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 1.64 et 0.84%.
Le secteur énergétique n'était pas non plus à négliger, BP avançant de 1.18%, Angllo American de 0.92%, et Tullow Oil de 2.2%.
La chaîne d'hôtels, cafés et restaurants Whitbread s'est pour sa part envolée de 7.25% après avoir déclaré des rentrées au premier trimestre ayant gonflé de 13.9%, grâce à des ventes ayant explosé de 25% dans ses boutiques Costa, lesquelles, de même que les hôtels Premier Inn, devraient se multiplier en cours d'année, pour créer 3 500 emplois.
Le grand distributeur Home retail Group a raflé 15.8% de son côté, malgré l'aveu d'un faux pas de 0.2% des ventes de ses magasins ouverts depuis au moins un an au cours de la période de 13 semaines conclue le 2 juin.
Les choses étaient moins limpides dans la City, Barclays prenant 0.64%, HSBC Holdings 0.47%, et Lloyds Banking 0.17%, alors que la Royal Bank of Scotland glissait de 0.17%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles auussi en demi-teinte: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.15% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur un frémissement de 0.07%.
Le centre de recherches économiques ZEW devait dévoiler en début de journée des études sur le moral économique de l'Allemagne et du bloc euro dans son entier, tandis que les autorités des Etats-Unis comptaient faire connaître le nombre des permis de construire accordés et des chantiers entamés.
Madrid s'apprêtait pour sa part à émettre entre 2 et 3 milliards d'euros de bons du trésor à 12 et 18 mois à la mi-journée.
Les chefs d'état du G20 tiendront quand à eux une seconde journée de pourparlers à Los Cabos, au Mexique.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.15%, et le CAC 40 français de 0.1%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.11%.
Les cours se trouvaient encouragés par l'espoir que le parti grec de la Nouvelle Démocratie forme un gouvernement de coalition avec les socialistes du Pasok, ce qui devrait permettre à Athènes de reprendre les négociations avec ses bailleurs de fonds concernant le programme d'aide international.
L'atmosphère s'est également trouvée allégée par l'obtention pour le Fonds Monétaire International de 456 milliards d'USD de fonds internationaux supplémentaires destinés à contrer les effets de la crise de la dette de la zone euro sur l'économie mondiale.
Mais toute velléité d'euphorie était vouée à l'échec, le taux des obligations décennales espagnoles s'étant situé situé à 7.16% en début de matinée, après avoir culminé hier à 7.28%, son plus haut niveau jamais atteint depuis l'introduction de l'euro, dans l'angoisse que les 100 milliards d'euros d'aides au renflouement des banques nationales attribués ce mois-ci ne soient pas suffisants.
L'allemand SAP, premier éditeur de logiciels de gestion d'entreprise au monde, se trouvait dans le peloton de tête, grimpant de 1.03%, après que son collègue américain Oracle ait annoncé que ses revenus du quatrième trimestre s'était élevé à 4.1 milliards d'USD en excluant des frais annexes, dépassant ainsi les espéranes des analystes.
Telecom Italia a pour sa part bondi de 6.98% alors qu'il se disait que des négociations étaient en cours avec la caisse des dépôts et consignations du pays visant la possible séparation de sa branche de téléphonie fixe.
La finance se trouvait par contre en berne, les français Société Générale et BNP Paribas reculant respectivement de 1 et 0.39%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitaient les dégâts à 0.78 et 0.15%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a toutefois conquis 0.45%, tiré vers le haut par des miniers en forme.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi engrangé 1.82 et 0.75%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 1.64 et 0.84%.
Le secteur énergétique n'était pas non plus à négliger, BP avançant de 1.18%, Angllo American de 0.92%, et Tullow Oil de 2.2%.
La chaîne d'hôtels, cafés et restaurants Whitbread s'est pour sa part envolée de 7.25% après avoir déclaré des rentrées au premier trimestre ayant gonflé de 13.9%, grâce à des ventes ayant explosé de 25% dans ses boutiques Costa, lesquelles, de même que les hôtels Premier Inn, devraient se multiplier en cours d'année, pour créer 3 500 emplois.
Le grand distributeur Home retail Group a raflé 15.8% de son côté, malgré l'aveu d'un faux pas de 0.2% des ventes de ses magasins ouverts depuis au moins un an au cours de la période de 13 semaines conclue le 2 juin.
Les choses étaient moins limpides dans la City, Barclays prenant 0.64%, HSBC Holdings 0.47%, et Lloyds Banking 0.17%, alors que la Royal Bank of Scotland glissait de 0.17%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles auussi en demi-teinte: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.15% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur un frémissement de 0.07%.
Le centre de recherches économiques ZEW devait dévoiler en début de journée des études sur le moral économique de l'Allemagne et du bloc euro dans son entier, tandis que les autorités des Etats-Unis comptaient faire connaître le nombre des permis de construire accordés et des chantiers entamés.
Madrid s'apprêtait pour sa part à émettre entre 2 et 3 milliards d'euros de bons du trésor à 12 et 18 mois à la mi-journée.
Les chefs d'état du G20 tiendront quand à eux une seconde journée de pourparlers à Los Cabos, au Mexique.