Investing.com - Les bourses européennes étaient sur le pied de guerre ce mardi matin, dans l'expectative des performances européens, après que l'Allemagne ait prolongé la déception dûe à la Chine.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,60%, le CAC 40 français de 0,84%, et le DAX 30 allemand de 0,01%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet annoncé que la première estimation de son baromètre de l'activité du secteur manufacturier allemand s'était rétractée des 49,0 précédents vers 47,9, alors qu'une stabilisation était espérée.
Son équivalent pour les services suivait le même chemin, passant de 50,9 à 49,2, alors qu'un sursaut à 51,0 était envisagé.
L'évaluation préliminaire de l'indice manufacturier chinois établi par HSBC a en effet reculé depuis 51,6 définitifs vers 50,5 pour avril.
Cette information laisse à redouter une évolution ralentie pour le secteur secondaire de la deuxième économie mondiale entre début avril et fin juin.
La finance avait tout de même le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,56%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,57 et 1,72%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,89 et 1,10%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,23 et 1,45%.
Mais tout n'était cependant pas rose, le fabricant de pneumatiques Michelin dérapant de 1,63% après avoir déploré une érosion de 8,1% de ses revenus au premier trimestre, accusant la diminution des ventes automobiles européennes de nuire à la demande.
A Londres, le FTSE 100 grignotait 0,13%, à l'approche d'une série de statistiques britanniques.
La City était mitigée, Barclays arrachant 0,14%, et Lloyds Banking 0,79%, tandis que la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings laissaient échapper 0,12 et 0,15%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,04 et 0,21%, Antofagasta et Randgold Resources leur emboîtant le pas avec 1,37 et 1,13%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas épargnés avec 0,76 et 0,41%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,28% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,23%.
Il était aussi à noter que Markit avait fait savoir à l'aube que la première estimation de son baromètre de l'activité du secteur manufacturier de la France avait décroché des 44,0 de mars vers 44,4, alors qu'une amélioration jusqu'à 44,3 était espérée.
Le tertiaire a par contre obtenu une amélioration depuis 41,3 vers 44,1, au lieu des 42,0 précédents anticipés.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le nombre officiel des ventes d'habitations neuves.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,60%, le CAC 40 français de 0,84%, et le DAX 30 allemand de 0,01%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet annoncé que la première estimation de son baromètre de l'activité du secteur manufacturier allemand s'était rétractée des 49,0 précédents vers 47,9, alors qu'une stabilisation était espérée.
Son équivalent pour les services suivait le même chemin, passant de 50,9 à 49,2, alors qu'un sursaut à 51,0 était envisagé.
L'évaluation préliminaire de l'indice manufacturier chinois établi par HSBC a en effet reculé depuis 51,6 définitifs vers 50,5 pour avril.
Cette information laisse à redouter une évolution ralentie pour le secteur secondaire de la deuxième économie mondiale entre début avril et fin juin.
La finance avait tout de même le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,56%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,57 et 1,72%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,89 et 1,10%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,23 et 1,45%.
Mais tout n'était cependant pas rose, le fabricant de pneumatiques Michelin dérapant de 1,63% après avoir déploré une érosion de 8,1% de ses revenus au premier trimestre, accusant la diminution des ventes automobiles européennes de nuire à la demande.
A Londres, le FTSE 100 grignotait 0,13%, à l'approche d'une série de statistiques britanniques.
La City était mitigée, Barclays arrachant 0,14%, et Lloyds Banking 0,79%, tandis que la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings laissaient échapper 0,12 et 0,15%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,04 et 0,21%, Antofagasta et Randgold Resources leur emboîtant le pas avec 1,37 et 1,13%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas épargnés avec 0,76 et 0,41%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,28% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,23%.
Il était aussi à noter que Markit avait fait savoir à l'aube que la première estimation de son baromètre de l'activité du secteur manufacturier de la France avait décroché des 44,0 de mars vers 44,4, alors qu'une amélioration jusqu'à 44,3 était espérée.
Le tertiaire a par contre obtenu une amélioration depuis 41,3 vers 44,1, au lieu des 42,0 précédents anticipés.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le nombre officiel des ventes d'habitations neuves.