Au terme du premier fixing du jour à Londres, l'once d'or fin cotait 1.205 dollars (- 3,25 dollars par rapport au fixing d'hier après-midi) et 1.073,6 euros (- 2,8 euros).
Non loin du terme d'une semaine durant laquelle l'euro a pour l'instant perdu 1,4% de sa valeur contre la devise américaine, l'or est bien partie pour terminer sur une baisse modérée de 3,25 dollars, mais sur une hausse de 3,8 euros.
Les spécialistes Matières premières de Commerzbank soulignent qu'aux Etats-Unis, l'indice des prix à la consommation reste en territoire négatif. Mais en excluant les prix de l'énergie, l'inflation américaine reste faible, mais était cependant plus forte que prévu.
En attendant, le dollar, principale devise de négoce de l'or, se traite toujours à un niveau élevé contre l'euro, ce qui tend à plomber sa progression.
Par ailleurs, la stabilité est toujours de mise pour l'encours de lingots formant la contrepartie de l'ETF aurifère SPDR Gold Shares, inchangé hier soir à 771,25 tonnes. Il stagne à ce niveau depuis le 20 février.
D'un point de vue technique, les analystes de ScotiaMocatta notent que l'once a échoué à reprendre, à la clôture du marché au comptant, le niveau des 1.220, qui constitue une résistance. De ce fait, le scénario d'un nouveau test, voire d'une cassure des 1.200, semble toujours probable. Cependant, les indicateurs de tendance sont devenus neutres, et non plus baissiers.
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Non loin du terme d'une semaine durant laquelle l'euro a pour l'instant perdu 1,4% de sa valeur contre la devise américaine, l'or est bien partie pour terminer sur une baisse modérée de 3,25 dollars, mais sur une hausse de 3,8 euros.
Les spécialistes Matières premières de Commerzbank soulignent qu'aux Etats-Unis, l'indice des prix à la consommation reste en territoire négatif. Mais en excluant les prix de l'énergie, l'inflation américaine reste faible, mais était cependant plus forte que prévu.
En attendant, le dollar, principale devise de négoce de l'or, se traite toujours à un niveau élevé contre l'euro, ce qui tend à plomber sa progression.
Par ailleurs, la stabilité est toujours de mise pour l'encours de lingots formant la contrepartie de l'ETF aurifère SPDR Gold Shares, inchangé hier soir à 771,25 tonnes. Il stagne à ce niveau depuis le 20 février.
D'un point de vue technique, les analystes de ScotiaMocatta notent que l'once a échoué à reprendre, à la clôture du marché au comptant, le niveau des 1.220, qui constitue une résistance. De ce fait, le scénario d'un nouveau test, voire d'une cassure des 1.200, semble toujours probable. Cependant, les indicateurs de tendance sont devenus neutres, et non plus baissiers.
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