Au moment où nous écrivons ces lignes, les indices européens retrouvent des couleurs après la forte de correction de lundi. En effet, les marchés actions ont terminé en baisse en raison du regain de tensions commerciales entre les Etats-Unis, l’Europe et la Chine. Pour aujourd’hui, nous prendrons connaissance de l’indice de confiance du consommateur du mois de juin aux Etats-Unis. Sur le front de la politique monétaire, nous assisterons aux discours de Raphael Bostic et de Robert Kaplan. Sur le volet des changes, la tendance est inchangée sur la paire EURUSD. Cette dernière évolue toujours sous le seuil des 1,17 $ pour 1 €. En Asie, le NIKKEI 225 a clôturé en petite hausse de 0,02 % à 22 342 points. Toutefois, les indices chinois (Hang Seng, CSI 300 Index et le Shanghai Composite) ont terminé en baisse et sont entrés en phase de « bear market ».
Encore et toujours la guerre commerciale…
Du côté de Wall Street, les investisseurs sont toujours sur le qui-vive. Et pour cause, les indices américains ont clôturé lundi en forte baisse dans le sillage des valeurs technologiques. Une fois de plus, la correction a été causée par les propos protectionnistes de Donald Trump à l’égard des investissements chinois aux Etats-Unis. Néanmoins, Steven Mnuchin, secrétaire d’Etat au Trésor, et Peter Navarro, conseiller au commerce extérieur de la Maison-Blanche, ont tenté de calmer les inquiétudes des opérateurs. Pour l’heure, les contrats à terme US retrouvent des couleurs et oscillent en territoire positif. Dans ce contexte, nous avons un biais acheteur sur l’indice S&P500 et pensons qu’il devrait renouer avec le niveau des 2 730 points à court terme.
Malgré les accords de l’OPEP, le contrat WTI a terminé lundi en baisse de 0,73 % à 68,08 $ le baril. Evidemment, le contexte global n’a pas épargné l’actif et ce en dépit des perspectives positives sur le marché du pétrole. En effet, le consensus anticipe désormais une stabilisation des stocks des pays de l’OCDE et un contrôle renforcé des excédents. Néanmoins, le marché reste hétérogène car l’Angola, le Venezuela, l’Iran et la Lybie rencontrent toujours des difficultés à l’échelle locale. Sur le plan technique, la toile de fond demeure haussière à court et moyen terme. C’est pourquoi nous conservons un biais acheteur sur le contrat WTI et estimons qu’il pourrait renouer avec le niveau des 70 $ le baril.
Encore et toujours la guerre commerciale…
Du côté de Wall Street, les investisseurs sont toujours sur le qui-vive. Et pour cause, les indices américains ont clôturé lundi en forte baisse dans le sillage des valeurs technologiques. Une fois de plus, la correction a été causée par les propos protectionnistes de Donald Trump à l’égard des investissements chinois aux Etats-Unis. Néanmoins, Steven Mnuchin, secrétaire d’Etat au Trésor, et Peter Navarro, conseiller au commerce extérieur de la Maison-Blanche, ont tenté de calmer les inquiétudes des opérateurs. Pour l’heure, les contrats à terme US retrouvent des couleurs et oscillent en territoire positif. Dans ce contexte, nous avons un biais acheteur sur l’indice S&P500 et pensons qu’il devrait renouer avec le niveau des 2 730 points à court terme.
Malgré les accords de l’OPEP, le contrat WTI a terminé lundi en baisse de 0,73 % à 68,08 $ le baril. Evidemment, le contexte global n’a pas épargné l’actif et ce en dépit des perspectives positives sur le marché du pétrole. En effet, le consensus anticipe désormais une stabilisation des stocks des pays de l’OCDE et un contrôle renforcé des excédents. Néanmoins, le marché reste hétérogène car l’Angola, le Venezuela, l’Iran et la Lybie rencontrent toujours des difficultés à l’échelle locale. Sur le plan technique, la toile de fond demeure haussière à court et moyen terme. C’est pourquoi nous conservons un biais acheteur sur le contrat WTI et estimons qu’il pourrait renouer avec le niveau des 70 $ le baril.