Investing.com - Le dollar U.S. n'a guère évolué face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, après qu'il ait été révélé que le nombre des demandeurs d'emploi américains avait davantage augmenté la semaine passée qu'anticipé.
En seconde partie de séance européenne, il a tenu son rang devant le yen, l'USD/JPY perdant 0.13% pour chuter à 90.96, frôlant encore sa plus haute valeur depuis la mi-juin 2010.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombre 38 000 demandes supplémentaires d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine achevée le 26 janvier, pour se situer à 368 000 après correction saisonnière, alors qu'un ajout de 20 000 pour un total de 350 000 était déjà redouté.
Il était aussi à noter que les revenus personnels avaient bondi de 2.6% en décembre dans le pays, leur plus forte performance en huit ans.
La Réserve Fédérale avait quand à elle assuré hier qu'elle continuerait à procéder des acquisitions d'actifs et que ses taux d'intérêt demeureraient proches de zéro tant que le chômage ne passerait pas sous les 6.5%.
Mais la devise du pays du soleil levant restait sur la sellette, la pression politique exercée par Shinzo Abe, premier ministre sur le retour désireux de combattre la déflation, sur la Banque du Japon, afin de lui faire procéder à des accommudements supplémentaires, semblant devoir se maintenir.
Il n'en était pas de même avec son adversaire européenne, l'EUR/USD trébuchant de 0.1% pour reprendre pied à 1.3551, aux abords d'un sommet de 14 mois, gardant toutefois le moral grâce à l'espoir qu'un tournant décisif ait été franchi dans la résolution de la crise du bloc où elle a cours.
Le billet vert a malgré tout cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD arrachant 0.11% pour se hisser à 1.5891, et n'a guère exercé sa pression sur le franc suisse, l'USD/CHF frémissant de 0.02% pour grimper à 0.9109.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été partagée contre ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.05 pour aller vers 1.0018, l'AUD/USD prenant l'avantage de 0.06% pour s'établir à 1.042 et le NZD/USD engrangeant 0.33% pour culminer à 0.8386.
Une étude émanant des autorités du Canada indiquait aujourd'hui que l'économie du pays avait avancé de 0.3% en novembre, dépassant ainsi les 0.2% espérés.
L'unité monétaire de Nouvelle-Zélande avait encore le sourire après que la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande ait maintenu à l'aube son taux directeur de 2.5% et déclaré s'attendre à ce que la croissance du pays se renforce au cours de l'année à venir.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.02% pour se situer à 79.32.
En seconde partie de séance européenne, il a tenu son rang devant le yen, l'USD/JPY perdant 0.13% pour chuter à 90.96, frôlant encore sa plus haute valeur depuis la mi-juin 2010.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombre 38 000 demandes supplémentaires d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine achevée le 26 janvier, pour se situer à 368 000 après correction saisonnière, alors qu'un ajout de 20 000 pour un total de 350 000 était déjà redouté.
Il était aussi à noter que les revenus personnels avaient bondi de 2.6% en décembre dans le pays, leur plus forte performance en huit ans.
La Réserve Fédérale avait quand à elle assuré hier qu'elle continuerait à procéder des acquisitions d'actifs et que ses taux d'intérêt demeureraient proches de zéro tant que le chômage ne passerait pas sous les 6.5%.
Mais la devise du pays du soleil levant restait sur la sellette, la pression politique exercée par Shinzo Abe, premier ministre sur le retour désireux de combattre la déflation, sur la Banque du Japon, afin de lui faire procéder à des accommudements supplémentaires, semblant devoir se maintenir.
Il n'en était pas de même avec son adversaire européenne, l'EUR/USD trébuchant de 0.1% pour reprendre pied à 1.3551, aux abords d'un sommet de 14 mois, gardant toutefois le moral grâce à l'espoir qu'un tournant décisif ait été franchi dans la résolution de la crise du bloc où elle a cours.
Le billet vert a malgré tout cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD arrachant 0.11% pour se hisser à 1.5891, et n'a guère exercé sa pression sur le franc suisse, l'USD/CHF frémissant de 0.02% pour grimper à 0.9109.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été partagée contre ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.05 pour aller vers 1.0018, l'AUD/USD prenant l'avantage de 0.06% pour s'établir à 1.042 et le NZD/USD engrangeant 0.33% pour culminer à 0.8386.
Une étude émanant des autorités du Canada indiquait aujourd'hui que l'économie du pays avait avancé de 0.3% en novembre, dépassant ainsi les 0.2% espérés.
L'unité monétaire de Nouvelle-Zélande avait encore le sourire après que la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande ait maintenu à l'aube son taux directeur de 2.5% et déclaré s'attendre à ce que la croissance du pays se renforce au cours de l'année à venir.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.02% pour se situer à 79.32.