Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mercredi matin, dans l'attente d'informations sur la confiance dans les affaires allemandes, les contre-performances d'hier ayant stimulé l'espoir d'une diminution des tauxde la Banque Centrale Européenne.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,59%, le CAC 40 français de 0,60%, et le DAX 30 allemand de 0,34%.
Les valeurs sont en effet remontées après que les rumeurs de rabaissement des taux européens se soient trouvées alimentées hier par les contre-performances des secteurs secondaire et tertiaire de l'Allemagne en avril, laissant redouter une régression de la première économie régionale.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,67%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,53 et 0,97%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,54 et 1,38%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,55 et 1,58%.
A Paris, le constructeur automobile Peugeot accélérait de 8,67% après avoir déploré un recul de 6,5% pour ses revenus au premier trimestre, pour se limiter à 13 milliards d'euros, dépassant cependant les 12,7 milliards envisagés en moyenne.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,34%, tiré vers le haut par des exploitants en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 2,50 et 4,12%, leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Polymetal les dépassant avec 4,85 et 4,69%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste, avec 7,36 et 2,91%.
La City suivant pour sa part le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings empochant 0,71%, et Lloyds Banking 1,57%, la Royal Bank of Scotland et Barclays se portant en tête avec 1,93 et 3,78%.
Cette dernière avait pourtant averti d'un effondrement de 25% de ses bénéfices avant impôt, une déception au vu des prédiction des experts.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,30%.
Le bloc euro devait voir aujourd'hui l'institut Ifo pour la recherche économique publier son étude sur le moral dans les affaires germaniques, après quoi les Etats-Unis comptaient divulguer dans l'après-midi leurs informations concernant les commandes de bien durables.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,59%, le CAC 40 français de 0,60%, et le DAX 30 allemand de 0,34%.
Les valeurs sont en effet remontées après que les rumeurs de rabaissement des taux européens se soient trouvées alimentées hier par les contre-performances des secteurs secondaire et tertiaire de l'Allemagne en avril, laissant redouter une régression de la première économie régionale.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,67%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,53 et 0,97%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,54 et 1,38%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,55 et 1,58%.
A Paris, le constructeur automobile Peugeot accélérait de 8,67% après avoir déploré un recul de 6,5% pour ses revenus au premier trimestre, pour se limiter à 13 milliards d'euros, dépassant cependant les 12,7 milliards envisagés en moyenne.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,34%, tiré vers le haut par des exploitants en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 2,50 et 4,12%, leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Polymetal les dépassant avec 4,85 et 4,69%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste, avec 7,36 et 2,91%.
La City suivant pour sa part le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings empochant 0,71%, et Lloyds Banking 1,57%, la Royal Bank of Scotland et Barclays se portant en tête avec 1,93 et 3,78%.
Cette dernière avait pourtant averti d'un effondrement de 25% de ses bénéfices avant impôt, une déception au vu des prédiction des experts.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,30%.
Le bloc euro devait voir aujourd'hui l'institut Ifo pour la recherche économique publier son étude sur le moral dans les affaires germaniques, après quoi les Etats-Unis comptaient divulguer dans l'après-midi leurs informations concernant les commandes de bien durables.