Investing.com - Les bourses européennes gardaient la forme ce mercredi après-midi, les informations décevantes sur la confiance dans les affaires allemandes ayant de nouveau stimulé l'espoir d'une diminution des taux de la Banque Centrale Européenne.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,62%, le CAC 40 français de 0,71%, et le DAX 30 allemand de 0,50%.
Les valeurs sont en effet remontées après que les rumeurs de rabaissement des taux européens se soient trouvées alimentées par l'indice de l'institut Ifo au sujet de la confiance dans les affaires allemandes, chutant depuis 106,7 vers 104,4 pour avril, son pire niveau en quatre mois.
Il avait déjà été montré hier que les secteurs secondaire et tertiaire de l'Allemagne avaient réalisé des contre-performances pour ce mois-ci.
La confiance est cependant quelque peu revenue après que les taux des obligations décennales de l'Italie soient tombés à 3,9% après que le président nouvellement réélu Giorgio Napolitano ait déclaré qu'un nouveau premier ministre serait nommé en cours de journée, mettant ainsi fin à deux mois d'impasse.
La finance perdait cependant son sourire uniforme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,54%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale se rétractaient de 0,93 et 0,71%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se repliant de 0,18 et 0,14%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,40 et 1,48%.
A Paris, le constructeur automobile Peugeot accélérait de 8,59% après avoir déploré un recul de 6,5% pour ses revenus au premier trimestre, pour se limiter à 13 milliards d'euros, dépassant cependant les 12,7 milliards envisagés en moyenne.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,08%, sa poussée limitée par un indice montrant que les ventes britanniques de logements réalisées avaient diminué an avril sans crier gare.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient cependant de 2,04 et 3,73%, leurs rivaux Evraz et Fresnillo les dépassant avec 4,46 et 3,98%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste, avec 5,83 et 3,57%.
La City se retrouvait moins unanime, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings empochant 0,14% et 0,70%, tandis que Lloyds Banking et Barclays dérapaient de 0,16 et 1,61%.
Cette dernière avait pourtant averti d'un effondrement de 25% de ses bénéfices avant impôt, une déception au vu des prédiction des experts.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,20% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,23%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leurs informations concernant les commandes de bien durables.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,62%, le CAC 40 français de 0,71%, et le DAX 30 allemand de 0,50%.
Les valeurs sont en effet remontées après que les rumeurs de rabaissement des taux européens se soient trouvées alimentées par l'indice de l'institut Ifo au sujet de la confiance dans les affaires allemandes, chutant depuis 106,7 vers 104,4 pour avril, son pire niveau en quatre mois.
Il avait déjà été montré hier que les secteurs secondaire et tertiaire de l'Allemagne avaient réalisé des contre-performances pour ce mois-ci.
La confiance est cependant quelque peu revenue après que les taux des obligations décennales de l'Italie soient tombés à 3,9% après que le président nouvellement réélu Giorgio Napolitano ait déclaré qu'un nouveau premier ministre serait nommé en cours de journée, mettant ainsi fin à deux mois d'impasse.
La finance perdait cependant son sourire uniforme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,54%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale se rétractaient de 0,93 et 0,71%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA se repliant de 0,18 et 0,14%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,40 et 1,48%.
A Paris, le constructeur automobile Peugeot accélérait de 8,59% après avoir déploré un recul de 6,5% pour ses revenus au premier trimestre, pour se limiter à 13 milliards d'euros, dépassant cependant les 12,7 milliards envisagés en moyenne.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,08%, sa poussée limitée par un indice montrant que les ventes britanniques de logements réalisées avaient diminué an avril sans crier gare.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient cependant de 2,04 et 3,73%, leurs rivaux Evraz et Fresnillo les dépassant avec 4,46 et 3,98%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste, avec 5,83 et 3,57%.
La City se retrouvait moins unanime, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings empochant 0,14% et 0,70%, tandis que Lloyds Banking et Barclays dérapaient de 0,16 et 1,61%.
Cette dernière avait pourtant averti d'un effondrement de 25% de ses bénéfices avant impôt, une déception au vu des prédiction des experts.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,20% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,23%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leurs informations concernant les commandes de bien durables.