Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce lundi, alors que le nouveau gouvernement italien s'apprêtait à dévoiler son plan de bataille économique, sur fond de rumeurs tenaces de baisse des taux régionaux.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,76%, le CAC 40 français de 0,9ç%, et le DAX 30 allemand de 0,49%.
Fabrizio Saccomanni, nouveau ministre de l'économie de l'Italie, devrait en effet présenter aujourd'hui ses mesures devant le parlement, après avoir déclaré compter diminuer les impôts, mais aussi réduire les dépenses ainsi que les coûts des emprunts.
Le cap que la Banque Centrale Européenne prendra mercredi, une baisse des taux étant attendue suite aux piètres résultats allemands dévoilés la semaine passée, faisait aussi des gorges chaudes.
Des propos récemment tenus par ses hauts représentants laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
La finance était sur les rangs, la Deutsche Bank allemande empochant 1,36%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,83 et 1,57%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 2,03 et 2,08%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 3,09 et 2,60%.
Mais tout n'était cependant pas rose, le chimiste germanique Bayer voyant 1,49% s'évaporer après avoir fait connaître son intention d'acquérir Conceptus, metteur au point de la méthode de stérilisation Essure, à 31 USD par action.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0,21%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant majoritairement le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland s'élevait ainsi de 0,49%, Barclays de 0,78% et Lloyds Banking de 0,93%, tandis que HSBC Holdings décevait avec un faux pas de 0,39%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi de la fête, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto accumulant respectivement 0,76 et 0,66%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 3,21 et 0,58%.
Le gestionnaire de fonds écossais Aberdeen raflait pour sa part 7,25% après avoir revendiqué des bénéfices avant impôt ajustés de 222,8 millions de GBP pour le premier trimestre, au lieu des 211 millions projetés.
Parmi les moins bonnes nouvelles, on pouvait déplorer un effondrement de 10,63% pour l'entrepreneur Balfour Beatty, ayant révélé que les profits découlant de ses opérations devraient être inférieurs de 50 millions de GBP aux prédictions précédentes.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,30%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,29% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,31%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi les informations de leurs spécialistes de l'immobilier sur le nombre des ventes de logements en cours.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,76%, le CAC 40 français de 0,9ç%, et le DAX 30 allemand de 0,49%.
Fabrizio Saccomanni, nouveau ministre de l'économie de l'Italie, devrait en effet présenter aujourd'hui ses mesures devant le parlement, après avoir déclaré compter diminuer les impôts, mais aussi réduire les dépenses ainsi que les coûts des emprunts.
Le cap que la Banque Centrale Européenne prendra mercredi, une baisse des taux étant attendue suite aux piètres résultats allemands dévoilés la semaine passée, faisait aussi des gorges chaudes.
Des propos récemment tenus par ses hauts représentants laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
La finance était sur les rangs, la Deutsche Bank allemande empochant 1,36%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,83 et 1,57%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 2,03 et 2,08%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 3,09 et 2,60%.
Mais tout n'était cependant pas rose, le chimiste germanique Bayer voyant 1,49% s'évaporer après avoir fait connaître son intention d'acquérir Conceptus, metteur au point de la méthode de stérilisation Essure, à 31 USD par action.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0,21%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant majoritairement le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland s'élevait ainsi de 0,49%, Barclays de 0,78% et Lloyds Banking de 0,93%, tandis que HSBC Holdings décevait avec un faux pas de 0,39%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi de la fête, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto accumulant respectivement 0,76 et 0,66%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 3,21 et 0,58%.
Le gestionnaire de fonds écossais Aberdeen raflait pour sa part 7,25% après avoir revendiqué des bénéfices avant impôt ajustés de 222,8 millions de GBP pour le premier trimestre, au lieu des 211 millions projetés.
Parmi les moins bonnes nouvelles, on pouvait déplorer un effondrement de 10,63% pour l'entrepreneur Balfour Beatty, ayant révélé que les profits découlant de ses opérations devraient être inférieurs de 50 millions de GBP aux prédictions précédentes.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,30%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,29% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,31%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi les informations de leurs spécialistes de l'immobilier sur le nombre des ventes de logements en cours.