La Bourse de Paris devrait ouvrir sur une note incertaine vendredi matin, poursuivant ses hésitations des derniers jours, dans un contexte de désintérêt apparent des opérateurs.
Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin juin - recule de sept points à 5287 points, annonçant un début de séance plutôt prudent.
Le marché parisien n'est pas ressorti depuis trois jours d'un corridor allant de 5335 à 5560 points malgré la dynamique haussière des indices américains qui inscrivent une nouvelle série de records absolus.
Hier, le CAC 40 avait terminé sur un repli de 0,1%, la tendance étant demeurée indécise de bout en bout, dans des volumes anecdotiques, jeudi de l'Ascension oblige.
Les investisseurs espèrent tout de même revoir les 5450 points d'ici le 31 mai, ce qui leur laisse moins d'une semaine pour retrouver les sommets.
La tendance pourrait s'animer en début d'après-midi avec la parution aux Etats-Unis de la deuxième estimation du PIB de 1er trimestre, des commandes de biens durables et de la confiance des consommateurs du Michigan.
Sur le marché des changes, l'euro se stabilise autour de 1,12 dollar tandis que le baril de brut léger américain poursuit sa consolidation en direction de 48,5 dollars après avoir grimpé de 18% en perspective d'une limitation des quotas de production l'OPEP, confirmée hier à l'issue d'une réunion à Vienne.
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Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin juin - recule de sept points à 5287 points, annonçant un début de séance plutôt prudent.
Le marché parisien n'est pas ressorti depuis trois jours d'un corridor allant de 5335 à 5560 points malgré la dynamique haussière des indices américains qui inscrivent une nouvelle série de records absolus.
Hier, le CAC 40 avait terminé sur un repli de 0,1%, la tendance étant demeurée indécise de bout en bout, dans des volumes anecdotiques, jeudi de l'Ascension oblige.
Les investisseurs espèrent tout de même revoir les 5450 points d'ici le 31 mai, ce qui leur laisse moins d'une semaine pour retrouver les sommets.
La tendance pourrait s'animer en début d'après-midi avec la parution aux Etats-Unis de la deuxième estimation du PIB de 1er trimestre, des commandes de biens durables et de la confiance des consommateurs du Michigan.
Sur le marché des changes, l'euro se stabilise autour de 1,12 dollar tandis que le baril de brut léger américain poursuit sa consolidation en direction de 48,5 dollars après avoir grimpé de 18% en perspective d'une limitation des quotas de production l'OPEP, confirmée hier à l'issue d'une réunion à Vienne.
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