La Bourse de Paris est à l'équilibre en cette dernière séance de la semaine, alors que la saison des résultats s'est très nettement intensifiée.
Vers 10h40, le CAC 40 est donc stable à 5.199 points.
Aucune donnée macroéconomique notable n'étant prévue ce vendredi de part et d'autre de l'Atlantique, l'attention des intervenants se focalise sur la microéconomie, au lendemain de la réunion de la BCE.
Son président Mario Draghi n'aura pas réussi à rassurer pleinement, relatent les équipes de Saxo Banque. 'Dans un premier temps, l'optimiste semblait l'emporter. Les investisseurs se sont en effet montrés rassurés par le statu quo de la BCE et la publication d'un communiqué sans changement, mais la suite aura été bien volatile et compliquée pour le CAC 40', rembobine le bureau d'études, pour qui le marché parisien a été refroidi par les propos de Draghi signalant que les gouverneurs se préparaient à débattre de la politique monétaire et donc d'une réduction du quantitative easing ('QE') à l'automne.
Au lendemain de cette séance somme toute assez chaotique, l'euro grappille 0,1% face au dollar à 1,1645, tandis que le baril de Brent engrange 0,5% à 49,6 dollars.
Enfin, au chapitre des valeurs, le secteur pétrolier est bien orienté avec Total (PA:TOTF) (+0,9%), chose rare, en tête de l'indice vedette, tandis que Technip (PA:FTI) prend 0,7%.
Valeo (PA:VLOF) accuse en revanche la plus forte baisse du CAC 40, en dépit de l'annonce hier d'un bond de 20% du bénéfice net part du groupe au premier semestre. Les opérateurs espéraient certainement mieux qu'une reconduction des objectifs annuels de l'équipementier automobile.
Enfin, sur le SBF 120, Rubis prend 3,8% au lendemain de l'annonce du rachat du groupe malgache Galana, lequel a dégagé l'an passé un chiffre d'affaires de 215 millions de dollars.
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Vers 10h40, le CAC 40 est donc stable à 5.199 points.
Aucune donnée macroéconomique notable n'étant prévue ce vendredi de part et d'autre de l'Atlantique, l'attention des intervenants se focalise sur la microéconomie, au lendemain de la réunion de la BCE.
Son président Mario Draghi n'aura pas réussi à rassurer pleinement, relatent les équipes de Saxo Banque. 'Dans un premier temps, l'optimiste semblait l'emporter. Les investisseurs se sont en effet montrés rassurés par le statu quo de la BCE et la publication d'un communiqué sans changement, mais la suite aura été bien volatile et compliquée pour le CAC 40', rembobine le bureau d'études, pour qui le marché parisien a été refroidi par les propos de Draghi signalant que les gouverneurs se préparaient à débattre de la politique monétaire et donc d'une réduction du quantitative easing ('QE') à l'automne.
Au lendemain de cette séance somme toute assez chaotique, l'euro grappille 0,1% face au dollar à 1,1645, tandis que le baril de Brent engrange 0,5% à 49,6 dollars.
Enfin, au chapitre des valeurs, le secteur pétrolier est bien orienté avec Total (PA:TOTF) (+0,9%), chose rare, en tête de l'indice vedette, tandis que Technip (PA:FTI) prend 0,7%.
Valeo (PA:VLOF) accuse en revanche la plus forte baisse du CAC 40, en dépit de l'annonce hier d'un bond de 20% du bénéfice net part du groupe au premier semestre. Les opérateurs espéraient certainement mieux qu'une reconduction des objectifs annuels de l'équipementier automobile.
Enfin, sur le SBF 120, Rubis prend 3,8% au lendemain de l'annonce du rachat du groupe malgache Galana, lequel a dégagé l'an passé un chiffre d'affaires de 215 millions de dollars.
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