Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris avançait de 0,72% à mi-séance jeudi, mais les investisseurs restaient prudents alors que les craintes au sujet de la crise de la dette en zone euro persistaient avant la présentation par l’Espagne de son budget 2013.
Mercredi, la banque centrale espagnole a annoncé que le pays devrait rester en récession au 3e trimestre, alors que le PIB continue à baisser "à un rythme significatif sur fond de tensions financières élevées".
Les bourses européennes et asiatiques ont, par ailleurs, bénéficié de rumeurs selon lesquelles la Banque Populaire de Chine a injecté 365 milliards de yuans (environ 45 milliards d’euros) sur les marchés financiers cette semaine, un record historique.
Sur le front des statistiques, la confiance s’est dégradée dans la zone euro en septembre, l’indice du sentiment économique reculant de 1,1 point à 85, tandis que celui du climat des affaires a diminué à -1,34 points, contre -1,18 en août. La confiance du consommateur s’est également détériorée, l’indice établi par Eurostat baissant de 1,3 point à -25,9.
En Allemagne, le nombre de demandeurs d’emploi a augmenté de 9.000 à 2,91 millions en septembre. Le taux de chômage reste néanmoins stable à 6,8% de la population active. Enfin, le PIB de la Grande-Bretagne s’est finalement contracté de 0,4% au deuxième trimestre par rapport au premier, contre une baisse de 0,5% précédemment estimé.
Du côté des valeurs, les banques s'inscrivaient dans le vert, jeudi. A mi-séance, BNP Paribas progressait de 0,99%, tandis que Société Générale grimpait de 1,56% et Crédit Agricole s'octroyait 2,70%.
Le directeur général Jean-Paul Chifflet de Crédit Agricole a annoncé, par ailleurs, que la banque compte vendre sa filiale grecque Emporiki dans les prochaines semaines.
Parmi les valeurs cycliques, Lafarge engrangeait 2,47%, alors que le groupe a cédé ses activités ciments, granulats et béton dans le Missouri et l’Oklahoma à l’américain Eagle Materials pour 446 millions de dollars, soit environ 347 millions d’euros.
ArcelorMittal gagnait aussi du terrain et s'appréciait de 0,48% à mi-séance. Selon Libération, le sidérurgiste aurait confirmé au gouvernement son intention de fermer définitivement les deux fourneaux du site de Florange, dont l’exécutif négocie la reprise partielle pour 1 euro symbolique.
Le gouvernement demande par ailleurs au groupe de lui accorder plusieurs mois pour trouver un repreneur, précise le quotidien. Le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg était attendu à Florange dans la journée.
Enfin, Renault cédait 0,31% et Peugeot gagnait 0,80%, alors que alors que le Mondial de l’automobile a ouvert ses portes à la presse et aux professionnels, jeudi.
Reuters rapportait plus tôt que le Comité des constructeurs français d’automobiles envisage de revoir sa prévision de recul du marché français à plus de 10%, contre une baisse de 8% à 10% précédemment estimée.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,54%, le DAX s'appréciait de 0,44% et le Footsie 100 avançait de 0,31%.
Quatre statistiques américaines étaient attendues plus tard dans l’après-midi: les chiffres définitifs du PIB du deuxième trimestre, les commandes de biens durables d’août et les inscriptions hebdomadaires au chômage, puis les promesses de ventes de logements du mois dernier.
Mercredi, la banque centrale espagnole a annoncé que le pays devrait rester en récession au 3e trimestre, alors que le PIB continue à baisser "à un rythme significatif sur fond de tensions financières élevées".
Les bourses européennes et asiatiques ont, par ailleurs, bénéficié de rumeurs selon lesquelles la Banque Populaire de Chine a injecté 365 milliards de yuans (environ 45 milliards d’euros) sur les marchés financiers cette semaine, un record historique.
Sur le front des statistiques, la confiance s’est dégradée dans la zone euro en septembre, l’indice du sentiment économique reculant de 1,1 point à 85, tandis que celui du climat des affaires a diminué à -1,34 points, contre -1,18 en août. La confiance du consommateur s’est également détériorée, l’indice établi par Eurostat baissant de 1,3 point à -25,9.
En Allemagne, le nombre de demandeurs d’emploi a augmenté de 9.000 à 2,91 millions en septembre. Le taux de chômage reste néanmoins stable à 6,8% de la population active. Enfin, le PIB de la Grande-Bretagne s’est finalement contracté de 0,4% au deuxième trimestre par rapport au premier, contre une baisse de 0,5% précédemment estimé.
Du côté des valeurs, les banques s'inscrivaient dans le vert, jeudi. A mi-séance, BNP Paribas progressait de 0,99%, tandis que Société Générale grimpait de 1,56% et Crédit Agricole s'octroyait 2,70%.
Le directeur général Jean-Paul Chifflet de Crédit Agricole a annoncé, par ailleurs, que la banque compte vendre sa filiale grecque Emporiki dans les prochaines semaines.
Parmi les valeurs cycliques, Lafarge engrangeait 2,47%, alors que le groupe a cédé ses activités ciments, granulats et béton dans le Missouri et l’Oklahoma à l’américain Eagle Materials pour 446 millions de dollars, soit environ 347 millions d’euros.
ArcelorMittal gagnait aussi du terrain et s'appréciait de 0,48% à mi-séance. Selon Libération, le sidérurgiste aurait confirmé au gouvernement son intention de fermer définitivement les deux fourneaux du site de Florange, dont l’exécutif négocie la reprise partielle pour 1 euro symbolique.
Le gouvernement demande par ailleurs au groupe de lui accorder plusieurs mois pour trouver un repreneur, précise le quotidien. Le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg était attendu à Florange dans la journée.
Enfin, Renault cédait 0,31% et Peugeot gagnait 0,80%, alors que alors que le Mondial de l’automobile a ouvert ses portes à la presse et aux professionnels, jeudi.
Reuters rapportait plus tôt que le Comité des constructeurs français d’automobiles envisage de revoir sa prévision de recul du marché français à plus de 10%, contre une baisse de 8% à 10% précédemment estimée.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,54%, le DAX s'appréciait de 0,44% et le Footsie 100 avançait de 0,31%.
Quatre statistiques américaines étaient attendues plus tard dans l’après-midi: les chiffres définitifs du PIB du deuxième trimestre, les commandes de biens durables d’août et les inscriptions hebdomadaires au chômage, puis les promesses de ventes de logements du mois dernier.