Investing.com - L'euro a un peu régressé face à une livre sterling en forme ce mardi, l'angoisse causée par l'escalade des coûts des emprunts portugais éclipsant l'espoir que la Grèce trouve un terrain d'entente pour un échange d'obligations avec leurs détenteurs d'ici la fin de la semaine.
La paire EUR/GBP est redescendue depuis 0.8385, son cours le plus élevé du jour, jusqu'à 0.836 en première partie de séance européenne, puis s'est stabitrébuchant de 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8309, son plancher du 25 janvier, et de rencontrer de la résistance à 0.8405, son plafond de lundi.
La monnaie unique s'est en effet retrouvée sur la sellette en raison du fardeau de la dette portugaise, les taux de ses bons décennaux ayant auparavant culminé à 17%, sur fond de renouveau du spectre d'un recours à un second plan de sauvetage international.
Elle avait pourtant été revigorée par Lucas Papademos, le premier ministre grec, déclarant que des "progrès significatifs" avaient été réalisés durant les pourparlers portant sur les échanges de dettes avec les créanciers privés du pays, ravivant l'espoir qu'un accord soit bouclé avant la fin de semaine.
La devise de la Grande-Bretagne n'avait guère été perturbée par le rapport émanant des autorités britanniques signalant ce matin que les prêts nets aux individus avaient été décevants en décembre, n'augmentant que de 400 millions de GBP, soit nettement moins que les 1.2 milliards espérés.
Une autre étude montrait de son côté que la confiance des consommateurs du Royaume-Uni s'était élevée en janvier vers son plus haut niveau en sept mois.
L'indice Gfk sur la question a engrangé 4 poits depuis décembre pour se situer à -29, sa valeur la moins basse depuis juin, les prévisions des particuliers concernant leurs finances personnelles et l'économie en général ayant aussi redressé la tête.
La monnaie du Royaume-Uni a aussi gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple GBP/USD engrangeant 0.46% pour se hisser à 1.5782, son meilleur niveau en deux mois.
Des résultats officiels aient auparavant montré que le nombre des personnes sans emploi en Allemagne avait davantage diminué en janvier qu'il n'avait été espéré, tandis que le taux de chômage plongeait vers un plancher historique, apaisant les inquiétudes conceernant les perspectives de la première économie européenne.
La paire EUR/GBP est redescendue depuis 0.8385, son cours le plus élevé du jour, jusqu'à 0.836 en première partie de séance européenne, puis s'est stabitrébuchant de 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8309, son plancher du 25 janvier, et de rencontrer de la résistance à 0.8405, son plafond de lundi.
La monnaie unique s'est en effet retrouvée sur la sellette en raison du fardeau de la dette portugaise, les taux de ses bons décennaux ayant auparavant culminé à 17%, sur fond de renouveau du spectre d'un recours à un second plan de sauvetage international.
Elle avait pourtant été revigorée par Lucas Papademos, le premier ministre grec, déclarant que des "progrès significatifs" avaient été réalisés durant les pourparlers portant sur les échanges de dettes avec les créanciers privés du pays, ravivant l'espoir qu'un accord soit bouclé avant la fin de semaine.
La devise de la Grande-Bretagne n'avait guère été perturbée par le rapport émanant des autorités britanniques signalant ce matin que les prêts nets aux individus avaient été décevants en décembre, n'augmentant que de 400 millions de GBP, soit nettement moins que les 1.2 milliards espérés.
Une autre étude montrait de son côté que la confiance des consommateurs du Royaume-Uni s'était élevée en janvier vers son plus haut niveau en sept mois.
L'indice Gfk sur la question a engrangé 4 poits depuis décembre pour se situer à -29, sa valeur la moins basse depuis juin, les prévisions des particuliers concernant leurs finances personnelles et l'économie en général ayant aussi redressé la tête.
La monnaie du Royaume-Uni a aussi gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple GBP/USD engrangeant 0.46% pour se hisser à 1.5782, son meilleur niveau en deux mois.
Des résultats officiels aient auparavant montré que le nombre des personnes sans emploi en Allemagne avait davantage diminué en janvier qu'il n'avait été espéré, tandis que le taux de chômage plongeait vers un plancher historique, apaisant les inquiétudes conceernant les perspectives de la première économie européenne.