La Bourse de Paris devrait débuter sans grand changement vendredi matin dans l'attente des chiffres de l'emploi aux Etats-Unis qui paraîtront en tout début d'après-midi.
Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin juillet - recule ainsi de 17 points à 4100 points, prémisse d'un début de séance plutôt prudent.
Le marché devrait rester creux en attendant la publication à 14h30 du rapport sur l'emploi américain pour le mois de juin.
Wall Street avait déjà signé une séance de temporisation hier, un statu-quo peu surprenant sachant que les opérateurs ont préféré limiter leurs prises de risque avant la publication du 'NFP' face à des actions américaines qui sont jugées chères et que la moindre déception pourrait faire chuter.
Les stratèges pensent néanmoins que la statistique devrait confirmer le 'découplage' entre une économie américaine qui se porte bien et une Europe montrant des signes croissants de fébrilité.
'Au vu de la dynamique en place, on table sur une croissance américaine de 2,4% ou 2,5% au deuxième trimestre accompagnée de fortes créations de postes (plus de 180.000 par mois), ce qui renforcerait le message que les choses ne vont pas si mal Outre-Atlantique', écrit Chris Weston, analyste chez IG.
Pour ce qui concerne la publication de 14h30, le consensus prévoit 180.000 créations de postes en juin, après le chiffre dérisoire de 38.000 emplois qui avait été annoncé au titre du mois de mai.
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Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin juillet - recule ainsi de 17 points à 4100 points, prémisse d'un début de séance plutôt prudent.
Le marché devrait rester creux en attendant la publication à 14h30 du rapport sur l'emploi américain pour le mois de juin.
Wall Street avait déjà signé une séance de temporisation hier, un statu-quo peu surprenant sachant que les opérateurs ont préféré limiter leurs prises de risque avant la publication du 'NFP' face à des actions américaines qui sont jugées chères et que la moindre déception pourrait faire chuter.
Les stratèges pensent néanmoins que la statistique devrait confirmer le 'découplage' entre une économie américaine qui se porte bien et une Europe montrant des signes croissants de fébrilité.
'Au vu de la dynamique en place, on table sur une croissance américaine de 2,4% ou 2,5% au deuxième trimestre accompagnée de fortes créations de postes (plus de 180.000 par mois), ce qui renforcerait le message que les choses ne vont pas si mal Outre-Atlantique', écrit Chris Weston, analyste chez IG.
Pour ce qui concerne la publication de 14h30, le consensus prévoit 180.000 créations de postes en juin, après le chiffre dérisoire de 38.000 emplois qui avait été annoncé au titre du mois de mai.
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