Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce lundi, après que les dirigeants du couple franco-allemand se soient engagés à dévoiler un plan de lutte contre la crise de la dette souveraine de la zone euro d'ici la fin du mois.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.63%, le CAC 40 français de 0.77%, et le DAX 30 allemand de 0.27%.
Le moral est en effet revenu après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français aient déclaré après leur rencontre de dimanche à Berlin être parvenus à un accord pour lutter conjointement contre la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Ils ont évoqué des mesures incluant l'apport de nouveaux capitaux aux banques européennes, une solution durable au problème du surendettement grec, et une accélération de la coordination des politiques budgétaires entre les différents états membres à mettre en place avant le prochain sommet du groupe des 20 pays les plus développés, les 3 et 4 novembre à Cannes.
Le secteur des télécommunications a servi de locomotive, France Télécom bondissant de 1.06%, Alcatel Lucent de 1%, et les allemands Deutsche Telekom et Siemens respectivement 1.1 et 0.39%.
Les prêteur européens restaient toutefois en mauvaise posture en raison de l'angoisse renouvelée d'une contamination de la région, après que l'agence Fitch ait dégradé vendredi son appréciation montaire de l'Italie et de l'Espagne.
En Allemagne, la Deutsche Bank et la Commerzbank ont ainsi reculé de 0.65 et 1.01%, et Banco Santander, représentant la périphérie, de 0.54%.
Leurs collègues françaises étaient plus mitigées, la Société Générale plongeant de 0.88%, mais BNP Paribas gagnant 0.58% suite au démenti des rumeurs selon lesquelles elles pourraient chacune chercher à lever 7 et 4 milliards d'euros dans le cadre du plan européen.
La banque franco-belge Dexia s'est quand à elle effondrée de 17.24% après avoir accepté aujourd'hui la nationalisation de sa branche belge, en raison de la crainte d'une faillite.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.71%, tiré vers le haut par la nette hausse des cours de ces dernières.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont engrangé 1.47 et 1.24%, et British Petroleum, 1.8%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata ont pour leur part arraché 0.18 et 0.93%.
Le finance britannique n'était toutefois pas aussi bien lotie, Lloyds Banking gagnant 0.35%, et Barclays 0.75%, tandis que la Royal Bank of Scotland laissait échapper 0.38%.
Les perspectives des marchés américains étaient par contre unanimement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 1.1% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.1% également.
Une étude officielle avait auparavant montré que la confiance des investisseurs dans la zone euro avait moins diminué que prévu, et ce bien qu'elle soit restée négative.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.63%, le CAC 40 français de 0.77%, et le DAX 30 allemand de 0.27%.
Le moral est en effet revenu après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français aient déclaré après leur rencontre de dimanche à Berlin être parvenus à un accord pour lutter conjointement contre la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Ils ont évoqué des mesures incluant l'apport de nouveaux capitaux aux banques européennes, une solution durable au problème du surendettement grec, et une accélération de la coordination des politiques budgétaires entre les différents états membres à mettre en place avant le prochain sommet du groupe des 20 pays les plus développés, les 3 et 4 novembre à Cannes.
Le secteur des télécommunications a servi de locomotive, France Télécom bondissant de 1.06%, Alcatel Lucent de 1%, et les allemands Deutsche Telekom et Siemens respectivement 1.1 et 0.39%.
Les prêteur européens restaient toutefois en mauvaise posture en raison de l'angoisse renouvelée d'une contamination de la région, après que l'agence Fitch ait dégradé vendredi son appréciation montaire de l'Italie et de l'Espagne.
En Allemagne, la Deutsche Bank et la Commerzbank ont ainsi reculé de 0.65 et 1.01%, et Banco Santander, représentant la périphérie, de 0.54%.
Leurs collègues françaises étaient plus mitigées, la Société Générale plongeant de 0.88%, mais BNP Paribas gagnant 0.58% suite au démenti des rumeurs selon lesquelles elles pourraient chacune chercher à lever 7 et 4 milliards d'euros dans le cadre du plan européen.
La banque franco-belge Dexia s'est quand à elle effondrée de 17.24% après avoir accepté aujourd'hui la nationalisation de sa branche belge, en raison de la crainte d'une faillite.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.71%, tiré vers le haut par la nette hausse des cours de ces dernières.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont engrangé 1.47 et 1.24%, et British Petroleum, 1.8%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata ont pour leur part arraché 0.18 et 0.93%.
Le finance britannique n'était toutefois pas aussi bien lotie, Lloyds Banking gagnant 0.35%, et Barclays 0.75%, tandis que la Royal Bank of Scotland laissait échapper 0.38%.
Les perspectives des marchés américains étaient par contre unanimement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 1.1% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.1% également.
Une étude officielle avait auparavant montré que la confiance des investisseurs dans la zone euro avait moins diminué que prévu, et ce bien qu'elle soit restée négative.