Investing.com - La livre sterling a perdu du terrain sur le dollar U.S. ce mardi, après la publication de résultats montrant pour septembre un pic de l'inflation britannique des trois dernières années, aggravant la crainte d'un ralentissement de l'activité économique.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.571 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 13 octobre, puis s'est stabilisée vers 1.5714, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5664, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.582, son plafond du même jour.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques a en effet montré que son taux d'augmentation des prix de vente au détail était de 0.6% pour le mois dernier, portant la valeur annuelle à 5.2%, et égalant ainsi son record de septembre 2008, alors que les experts pensaient le voir se situer à 4.9%.
Ces chiffres ont alimenté l'angoisse d'un période prolongée de forte inflation et de faible croissance au Royaume-Uni, après que la Banque d'Angleterre annoncé en début de mois la mise en place d'un second plan de stimulation monétaire destinée à renflouer l'économie.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.3% pour tomber à 0.8699.
l'agence Moody's Investor Services a quand à elle émis pour la France un préavis selon lequel "la pression des mauvais indicateurs de l'endettement" pourrait entraîner des perspectives négatives pour le pays et ainsi tirer sa notation monétaire vers le bas dans les trois mois.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.571 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 13 octobre, puis s'est stabilisée vers 1.5714, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5664, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.582, son plafond du même jour.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques a en effet montré que son taux d'augmentation des prix de vente au détail était de 0.6% pour le mois dernier, portant la valeur annuelle à 5.2%, et égalant ainsi son record de septembre 2008, alors que les experts pensaient le voir se situer à 4.9%.
Ces chiffres ont alimenté l'angoisse d'un période prolongée de forte inflation et de faible croissance au Royaume-Uni, après que la Banque d'Angleterre annoncé en début de mois la mise en place d'un second plan de stimulation monétaire destinée à renflouer l'économie.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.3% pour tomber à 0.8699.
l'agence Moody's Investor Services a quand à elle émis pour la France un préavis selon lequel "la pression des mauvais indicateurs de l'endettement" pourrait entraîner des perspectives négatives pour le pays et ainsi tirer sa notation monétaire vers le bas dans les trois mois.