Investing.com - Le dollar U.S. était en léger recule face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, les investisseurs attendant les résultats de la mise aux enchères de dettes espagnoles , quidevraient constituer un test crucial de la capacité des états en difficulté de la zone euro à lever les fonds dont ils ont besoin.
En première partie de séance européenne, il a quelque peu fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.1% pour grimper à 1.2719.
La monnaie unique demeurait fragilisée alors que l'Espagne prévoyait d'émettre aujourd'hui jusqu'à 5 milliards d'euros en bons du trésor parvenant à échéance en 2015 et 2016, l'Italie espérant faire de même demain avec 4.75 milliards d'euros en titres quinquennaux.
Les observateurs guettaient aussi nerveusement la réunion de la Banque Centrale Européenne de cet après-midi, au cours de laquelle celle-ci maintiendra probablement ses taux à 1%, et rappellera aux gouvernements du bloc euro qu'ils doivent renouveler leurs efforts afin de lutter contre le problème du surendettement régional.
Le billet vert a toutefois pris du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD cédant 0.19% pour se hisser à 1.5302.
La devise de la Grande-Bretagne a commis un faux pas après que des chiffres officiels aient montré que la production manufacturée britannique avait plongé en novembre de manière inattendue, imitée aussi par l'industrielle.
Le yen a d'autre part subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grignotant 0.12% pour se retrouver à 76.95 et l'USD/CHF glissant de 0.16% pour tomber à 0.9524.
L'économiste en chef de la Banque du Japon avait déclaré ce matin que l'économie du pays subirait pour le moment une stagnation avant de reprendre une croissance modérée en cours d'année, le spectre du problème du surendettement de l'Europe et le ralentissement de l'économie mondiale freinant les exportations.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.11% pour aller vers 1.0182, l'AUD/USD trébuchant de 0.02% pour descendre à 1.0308 et le NZD/USD laissant échapper 0.15% pour toucher le fond à 0.7958.
Une étude émanant des autorités avait auparavant indiqué que l'inflation des prix à la consommation chinois s'était limitée à 41% en décembre, son plus bas niveau en 15 mois, contre 4.2% lors du précédent, renforçant l'hypothèse d'un assouplissement monétaire de Pékin destiné à relanccer la croissance.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.11% pour se situer à 81.49.
Les autorités des Etats-Unis dévoileront dans l'après-midi leurs rapports sur les ventes au détail, ainsi que sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, il a quelque peu fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.1% pour grimper à 1.2719.
La monnaie unique demeurait fragilisée alors que l'Espagne prévoyait d'émettre aujourd'hui jusqu'à 5 milliards d'euros en bons du trésor parvenant à échéance en 2015 et 2016, l'Italie espérant faire de même demain avec 4.75 milliards d'euros en titres quinquennaux.
Les observateurs guettaient aussi nerveusement la réunion de la Banque Centrale Européenne de cet après-midi, au cours de laquelle celle-ci maintiendra probablement ses taux à 1%, et rappellera aux gouvernements du bloc euro qu'ils doivent renouveler leurs efforts afin de lutter contre le problème du surendettement régional.
Le billet vert a toutefois pris du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD cédant 0.19% pour se hisser à 1.5302.
La devise de la Grande-Bretagne a commis un faux pas après que des chiffres officiels aient montré que la production manufacturée britannique avait plongé en novembre de manière inattendue, imitée aussi par l'industrielle.
Le yen a d'autre part subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grignotant 0.12% pour se retrouver à 76.95 et l'USD/CHF glissant de 0.16% pour tomber à 0.9524.
L'économiste en chef de la Banque du Japon avait déclaré ce matin que l'économie du pays subirait pour le moment une stagnation avant de reprendre une croissance modérée en cours d'année, le spectre du problème du surendettement de l'Europe et le ralentissement de l'économie mondiale freinant les exportations.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.11% pour aller vers 1.0182, l'AUD/USD trébuchant de 0.02% pour descendre à 1.0308 et le NZD/USD laissant échapper 0.15% pour toucher le fond à 0.7958.
Une étude émanant des autorités avait auparavant indiqué que l'inflation des prix à la consommation chinois s'était limitée à 41% en décembre, son plus bas niveau en 15 mois, contre 4.2% lors du précédent, renforçant l'hypothèse d'un assouplissement monétaire de Pékin destiné à relanccer la croissance.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.11% pour se situer à 81.49.
Les autorités des Etats-Unis dévoileront dans l'après-midi leurs rapports sur les ventes au détail, ainsi que sur les nouvelles inscriptions au chômage.