Investing.com - La livre sterling était en forme face au dollar U.S. ce lundi, suivant le chemin tracé par l'euro, la cconfiance des investisseurs s'étant trouvée renforcée par l'adoption par le parlement grec de nouvelles mesures d'austérité à l'approche de la rencontre des ministres des finances de la zone euro à venir en cours de semaine.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5821 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5821, gagnant 0.42%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5749, son plancher du 3 février, et de rencontrer de la résistance à 1.5882, son plafond du premier février.
L'atmosphère s'était trouvée largement éclaircie après que les représentants de la Grèce aient donné hier leur feu vert à un programme de rigueur destiné à s'assurer du bénéfice du second plan de sauvetage.
Celui-ci comprend des coupes dans les salaires du secteur privé, le licenciement de 15 000 fonctionnaires ainsi que 3 milliards d'euros de coupes supplémentaires dans le budget de l'état dès cette année.
Mais le pays doit aussi trouver le moyen d'économiser 325 milliards d'euros et donner des assurannces contraignantes concernant la mise en oeuvre du programme avant que les responsables financiers de l'Eurogroupe ne se réunissent pour décider de lui accorder ou non les 130 milliards d'euros de son parachute.
La devise de la Grande-Bretagne a toutefois cédé quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.17% pour se hisser à 0.8391.
Les observateurs guettaient également une série d'émissions de dettes prévues pour ces prochains jours de la part de l'Italie, de l'Espagne et de la France, celles-ci étant considérées comme des tests grandeur nature de la confiance des investisseurs dans les dettes souveraines régionales.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5821 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5821, gagnant 0.42%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5749, son plancher du 3 février, et de rencontrer de la résistance à 1.5882, son plafond du premier février.
L'atmosphère s'était trouvée largement éclaircie après que les représentants de la Grèce aient donné hier leur feu vert à un programme de rigueur destiné à s'assurer du bénéfice du second plan de sauvetage.
Celui-ci comprend des coupes dans les salaires du secteur privé, le licenciement de 15 000 fonctionnaires ainsi que 3 milliards d'euros de coupes supplémentaires dans le budget de l'état dès cette année.
Mais le pays doit aussi trouver le moyen d'économiser 325 milliards d'euros et donner des assurannces contraignantes concernant la mise en oeuvre du programme avant que les responsables financiers de l'Eurogroupe ne se réunissent pour décider de lui accorder ou non les 130 milliards d'euros de son parachute.
La devise de la Grande-Bretagne a toutefois cédé quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.17% pour se hisser à 0.8391.
Les observateurs guettaient également une série d'émissions de dettes prévues pour ces prochains jours de la part de l'Italie, de l'Espagne et de la France, celles-ci étant considérées comme des tests grandeur nature de la confiance des investisseurs dans les dettes souveraines régionales.