Investing.com - Les options sur l'or se sont maintenues ce lundi matin aux abords de leur pic des trois dernières semaines établi lors de la journée de cotation précédente, le flou entourant le plan de secours à la Grèce et la crise fiscale menaçant les Etats-Unis leur apportant des partisans.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 735.55 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.25%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1 732.35 USD, leur pire cours journalier, et 1 735.95 USD, leur meilleur, après avoir culminé vendredi à 1 738.75 USD, leur plus forte valeur en trois semaines.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 703.05 USD, leur plancher du 7 novembre, et rencontrer de la résistance à 1 744.25 USD, leur plafond du 19 octobre.
Les représentants grecs ont en effet donné leur feu vert à une combinaison de coupes dans les dépenses et d'augmentation d'impôts pour l'année prochaine, juste après que les députés aient voté d'une courte tête en faveur d'un programme de rigueur se montant à 13.5 milliards d'euros destiné à lui permettre l'attribution de la prochaine tranche d'aides.
Les membres de l'Eurogroupe se rencontreront aujourd'hui à Bruxelles afin d'évoquer cette hypothèse.
Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, avait toutefois prévenu un journal germanique qu'il ne fallait cependant pas attendre de conclusions de cette réunion.
Sans l'envoi d'une bouée de sauvetage, Athènes risque le défaut de paiement le 16 novembre, avec 5 milliards d'euros à rembourser.
Les yeux demeuraient aussi tournés vers le mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
L'agence de notation Fitch a averti cette nuit que la notation triple A nationale serait menacée au cas où le parlement et le président Obama ne faisaient pas en sorte de désamorcer la crise au plus tôt.
Il était en effet à craindre que l'histoire se répête et entraîne le même type de luttes partisanes qui avaient poussé Standard & Poor's à priver le pays de son AAA en août 2011.
Les signes de forte demande pour le métal précieux de la part de la Chine et de l'Inde, les deux premiers consommateurs mondiaux, ont également contribué à cette tendance haussière.
Des chiffres officiels signalaient ainsi qu'Hong Kong en avait importé 69.7 tonnes en septembre, soit 30% de plus qu'au cours du mois précédent.
Dess représentants des autorités indiennes n'étaient pas en reste, en affirmant que la quantité consommée devrait connaître un bond pouvant atteindre 15% ce trimestre, grâce à la baisse des prix et la demande dûe aux festivités de fin d'année.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs relevé la tête de 0.25% pour grimper à 32.67 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont grignoté 0.1% pour se retrouver à 3.446 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 735.55 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.25%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1 732.35 USD, leur pire cours journalier, et 1 735.95 USD, leur meilleur, après avoir culminé vendredi à 1 738.75 USD, leur plus forte valeur en trois semaines.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 703.05 USD, leur plancher du 7 novembre, et rencontrer de la résistance à 1 744.25 USD, leur plafond du 19 octobre.
Les représentants grecs ont en effet donné leur feu vert à une combinaison de coupes dans les dépenses et d'augmentation d'impôts pour l'année prochaine, juste après que les députés aient voté d'une courte tête en faveur d'un programme de rigueur se montant à 13.5 milliards d'euros destiné à lui permettre l'attribution de la prochaine tranche d'aides.
Les membres de l'Eurogroupe se rencontreront aujourd'hui à Bruxelles afin d'évoquer cette hypothèse.
Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, avait toutefois prévenu un journal germanique qu'il ne fallait cependant pas attendre de conclusions de cette réunion.
Sans l'envoi d'une bouée de sauvetage, Athènes risque le défaut de paiement le 16 novembre, avec 5 milliards d'euros à rembourser.
Les yeux demeuraient aussi tournés vers le mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
L'agence de notation Fitch a averti cette nuit que la notation triple A nationale serait menacée au cas où le parlement et le président Obama ne faisaient pas en sorte de désamorcer la crise au plus tôt.
Il était en effet à craindre que l'histoire se répête et entraîne le même type de luttes partisanes qui avaient poussé Standard & Poor's à priver le pays de son AAA en août 2011.
Les signes de forte demande pour le métal précieux de la part de la Chine et de l'Inde, les deux premiers consommateurs mondiaux, ont également contribué à cette tendance haussière.
Des chiffres officiels signalaient ainsi qu'Hong Kong en avait importé 69.7 tonnes en septembre, soit 30% de plus qu'au cours du mois précédent.
Dess représentants des autorités indiennes n'étaient pas en reste, en affirmant que la quantité consommée devrait connaître un bond pouvant atteindre 15% ce trimestre, grâce à la baisse des prix et la demande dûe aux festivités de fin d'année.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs relevé la tête de 0.25% pour grimper à 32.67 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont grignoté 0.1% pour se retrouver à 3.446 USD la livre dans le même temps.