Investing.com - Le dollar U.S. n'était guère en forme face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, une fois les statistiques mitigées de la zone euro diffusées, l'attention se focalisant sur les aéricaines de cet après-midi.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.03% pour grimper à 1.3081.
Ce dernier n'a pas été bouleversé par une étudde officielle soulignant que l'augmentation des prix à la consommation s'était comme prévu maintenue à 2.2% en novembre.
Celle des coûts de base, excluant nourriture, énergie, alcool et tabac, est toutefois descendue de 1.5 vers 1.4% dans le même temps, alors qu'elle était prédite en stabilisation.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant révélé dans son rapport préliminaire que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la zone euro avait davantage redressé la tête en décembre qu'espéré, grignotant depuis 46.?2 vers 47.3.
Les experts n'envisageaient pourtant pas le voir passer au-dessus des 46.6 pour la période considérée.
Celui des services a fait de même, s'élevant de 46.7 à 47.8 dans le même temps, alors d'une ascension à seulement 47 était espérée.
Il était d'autre part à signaler que l'activité des industries allemandes avait trébuché de 46.8 à 46.3 dans le même temps, au lieu de se diriger vers les 47.2 envisagés.
Celle du tertiaire passait par contre de 49.7 à 52.1 pour ce mois-ci, dépassant ainsi les 50 sur lesquels tablaient les analystes.
La confiance était déjà revenue après que les ministres des finances du bloc euro se soient prononcés hier en faveur de l'octroi immédiat des 34.4 milliard d'euros de fonds de secours à la Grèce, au lendemain de l'adoption des règles de supervision des banques de la zone euro dont l'accouchement s'est révélé difficile.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.11% pour se hisser à 1.6131.
Le yen a d'autre part subi sa pression, l'USD/JPY empochant 0.18% pour se retrouver à 83.8, mais le franc suisse lui a mieux résisté, l'USD/CHF n'arrachant que 0.02% pour frémir à 0.9237.
La Banque du Japon avait fait savoir à l'aube que son indice manufacturier Tankan avait davantage reculé au quatrième trimestre qu'il n'était redouté, plongeant de -3 à -12, alors que les spécialistes espéraient ne pas le voir déraper sous les -10.
Son pendant tertiaire est pour sa part passé de 8 à 4 dans le même temps, alors que les prédictions le voyaient à 5.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.04% pour sombrer vers 1.0536, l'AUD/USD raflant 0.08% pour fait un saut de puce à 1.0536 et le NZD/USD subissant un passage à vide de 0.23% pour toucher le fond à 0.8413.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.02% pour se situer à 79.98.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec l'inflation officielle des prix à la consommation, le taux d'utilisation des capacités, la production industrielle, et celle des usines.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.03% pour grimper à 1.3081.
Ce dernier n'a pas été bouleversé par une étudde officielle soulignant que l'augmentation des prix à la consommation s'était comme prévu maintenue à 2.2% en novembre.
Celle des coûts de base, excluant nourriture, énergie, alcool et tabac, est toutefois descendue de 1.5 vers 1.4% dans le même temps, alors qu'elle était prédite en stabilisation.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant révélé dans son rapport préliminaire que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la zone euro avait davantage redressé la tête en décembre qu'espéré, grignotant depuis 46.?2 vers 47.3.
Les experts n'envisageaient pourtant pas le voir passer au-dessus des 46.6 pour la période considérée.
Celui des services a fait de même, s'élevant de 46.7 à 47.8 dans le même temps, alors d'une ascension à seulement 47 était espérée.
Il était d'autre part à signaler que l'activité des industries allemandes avait trébuché de 46.8 à 46.3 dans le même temps, au lieu de se diriger vers les 47.2 envisagés.
Celle du tertiaire passait par contre de 49.7 à 52.1 pour ce mois-ci, dépassant ainsi les 50 sur lesquels tablaient les analystes.
La confiance était déjà revenue après que les ministres des finances du bloc euro se soient prononcés hier en faveur de l'octroi immédiat des 34.4 milliard d'euros de fonds de secours à la Grèce, au lendemain de l'adoption des règles de supervision des banques de la zone euro dont l'accouchement s'est révélé difficile.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.11% pour se hisser à 1.6131.
Le yen a d'autre part subi sa pression, l'USD/JPY empochant 0.18% pour se retrouver à 83.8, mais le franc suisse lui a mieux résisté, l'USD/CHF n'arrachant que 0.02% pour frémir à 0.9237.
La Banque du Japon avait fait savoir à l'aube que son indice manufacturier Tankan avait davantage reculé au quatrième trimestre qu'il n'était redouté, plongeant de -3 à -12, alors que les spécialistes espéraient ne pas le voir déraper sous les -10.
Son pendant tertiaire est pour sa part passé de 8 à 4 dans le même temps, alors que les prédictions le voyaient à 5.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.04% pour sombrer vers 1.0536, l'AUD/USD raflant 0.08% pour fait un saut de puce à 1.0536 et le NZD/USD subissant un passage à vide de 0.23% pour toucher le fond à 0.8413.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.02% pour se situer à 79.98.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec l'inflation officielle des prix à la consommation, le taux d'utilisation des capacités, la production industrielle, et celle des usines.