Investing.com - Les bourses européennes restaient en forme ce mercredi après-midi, profitant du succès relatif de l'émission d'emprunts par l'Italie, toujours coincée dans une impasse politique inquiétante.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.52%, le CAC 40 français de 0.74%, et le DAX 30 allemand de 0.34%.
Rome a ainsi émis pour 4 milliards d'euros d'obligations décennales à un taux moyen de 4.83%, dépassant toutefois les 4.17% enregistrés le mois dernier, et pour 2.5 milliards d'euros à échéance à cinq ans à 3.59%, au lieu des 2.94% précédents.
Les taux des premières se sont ensuite hissés à 4.84%, aux abords de leur plus haut niveau depuis décembre.
La nervosité restait grande en raison des incertitudes nationales, aucun parti ni coalition n'ayant réussi à établir de majorité au sénat à la suite des élections.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, comparaîtra à nouveau aujourd'hui à Washington DC au sujet de l'état de la politique monétaire, après avoir défendu dans la soirée le programme d'injections de liquidités de cette dernière, affirmant que ses avantages surpassaient ses éventuels inconvénients.
La finance a perdu de son unanimité, les allemands Commerzbank et Deutsch Bank se repliant respectivement 0.53 et 0.46%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale se redressaient de 0.55 et 1.03%.
La périphérie était plus unie, les espagnols Banco Santander et BBVA grimpant de 0.71 et 0.28%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit n'étant pas en reste 1.38 et 0.73%.
EADS bondissait pour sa part de 6.84% après avoir revendiqué une explosion de 68% de ses rentrées annuelles, battant ainsi les prévisions des analystes, et prédisant une augmentation de ses bénéfices pour l'année en cours, grâce à sa succursale aéronautique Airbus SAS, et au renforcement de la popularité des hélicoptères à usage commercial.
A Londres, le FTSE 100 s'est élevé de 0.33%, bien qu'il ait été confirmé que l'économie britannique s'était contractée de 0.3% au dernier trimestre.
La City en a perdu une grosse partie de son enthousiasme du matin, Barclays glissait de 0.44% et Lloyds Banking de 0.83%, avec la Royal Bank of Scotland en queue de peloton avec 0.88%, HSBC Holdings émergeant par contre de 1.12%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont aussi souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 0.52 et 1.05%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata leur emboîtant le pas avec 1.64 et 0.74%.
Vodafone bétonnait quand à lui de 1.32% alors qu'il se disait que ses plans visant à prendre le contrôle de Kabel Deutschland Holding avaient été mis en veille après que la fuite d'une offre potentielle ait compliqué les discussions internes.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément enthousiastes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.13% aussi, et celles sur le Nasdaq 100 à 0.14%.
Le groupe de recherches économiques Gfk avait aupatavant révélé que son baromètre de la confiance des ménages allemands avait comme prévu frémi depuis 5.8 vers 5.9 pour février.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec leurs commandes de biens durables et leurs ventes de logements en cours, alors que le directeur de leur banque centrale comparaîtra pour un deuxième jour à Washington DC au sujet de l'état de la politique monétaire, alors que Mario Draghi, son homologue européen, participera à de son côté une conférence en Allemagne.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.52%, le CAC 40 français de 0.74%, et le DAX 30 allemand de 0.34%.
Rome a ainsi émis pour 4 milliards d'euros d'obligations décennales à un taux moyen de 4.83%, dépassant toutefois les 4.17% enregistrés le mois dernier, et pour 2.5 milliards d'euros à échéance à cinq ans à 3.59%, au lieu des 2.94% précédents.
Les taux des premières se sont ensuite hissés à 4.84%, aux abords de leur plus haut niveau depuis décembre.
La nervosité restait grande en raison des incertitudes nationales, aucun parti ni coalition n'ayant réussi à établir de majorité au sénat à la suite des élections.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, comparaîtra à nouveau aujourd'hui à Washington DC au sujet de l'état de la politique monétaire, après avoir défendu dans la soirée le programme d'injections de liquidités de cette dernière, affirmant que ses avantages surpassaient ses éventuels inconvénients.
La finance a perdu de son unanimité, les allemands Commerzbank et Deutsch Bank se repliant respectivement 0.53 et 0.46%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale se redressaient de 0.55 et 1.03%.
La périphérie était plus unie, les espagnols Banco Santander et BBVA grimpant de 0.71 et 0.28%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit n'étant pas en reste 1.38 et 0.73%.
EADS bondissait pour sa part de 6.84% après avoir revendiqué une explosion de 68% de ses rentrées annuelles, battant ainsi les prévisions des analystes, et prédisant une augmentation de ses bénéfices pour l'année en cours, grâce à sa succursale aéronautique Airbus SAS, et au renforcement de la popularité des hélicoptères à usage commercial.
A Londres, le FTSE 100 s'est élevé de 0.33%, bien qu'il ait été confirmé que l'économie britannique s'était contractée de 0.3% au dernier trimestre.
La City en a perdu une grosse partie de son enthousiasme du matin, Barclays glissait de 0.44% et Lloyds Banking de 0.83%, avec la Royal Bank of Scotland en queue de peloton avec 0.88%, HSBC Holdings émergeant par contre de 1.12%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont aussi souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 0.52 et 1.05%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata leur emboîtant le pas avec 1.64 et 0.74%.
Vodafone bétonnait quand à lui de 1.32% alors qu'il se disait que ses plans visant à prendre le contrôle de Kabel Deutschland Holding avaient été mis en veille après que la fuite d'une offre potentielle ait compliqué les discussions internes.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément enthousiastes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.13% aussi, et celles sur le Nasdaq 100 à 0.14%.
Le groupe de recherches économiques Gfk avait aupatavant révélé que son baromètre de la confiance des ménages allemands avait comme prévu frémi depuis 5.8 vers 5.9 pour février.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec leurs commandes de biens durables et leurs ventes de logements en cours, alors que le directeur de leur banque centrale comparaîtra pour un deuxième jour à Washington DC au sujet de l'état de la politique monétaire, alors que Mario Draghi, son homologue européen, participera à de son côté une conférence en Allemagne.