Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris pliait de 1,07% à mi-séance lundi, plombé par les statistiques décevantes en provenance de la Chine.
Le PIB de la Chine a progressé de 7,7% en rythme annualisé au premier trimestre, contre 8% anticipé par le consensus Thomson Reuters et après 7,9% sur les trois derniers mois de 2012.
La production industrielle a quant à elle augmenté de 8,9% en mars, contre une hausse de 10% espérée et après +9,9% en janvier-février. La Banque mondiale a par ailleurs revu en baisse de 0,1 point à 8,3% sa prévision de croissance pour la Chine en 2013.
En Europe, le commerce extérieur de la zone euro a été excédentaire de 10,4 milliards d’euros en février après un déficit de 4,7 milliards en janvier.
Du côté des valeurs, ArcelorMittal a notamment été affecté par le ralentissement de la croissance en Chine et abandonnait 4,07% en milieu de séance.
Egalement dans le rouge, France Télécom reculait de 0,65% , alors que chiffre d’affaires des filiales de l’opérateur a stagné à l’étranger à périmètre constant l’an dernier, selon Les Echos.
Le groupe a fait savoir, par ailleurs, que l’objectif de 300 millions de clients à la fin 2015, contre 230 millions fin 2012, risque d’être difficile à atteindre.
Quant aux banques, elles évoluaient en forte baisse. BNP Paribas pliait de 1,77% à mi-séance, tandis que Société Générale et Crédit Agricole lâchaient 3,11% et 2,46% respectivement.
A l'inverse, EADS avançait de 0,16% en milieu de séance, alors que la maison mère d’Airbus a annoncé être entrée en négociation avec le gouvernement français en vue de lui racheter un bloc de 1,56% de ses propres actions.
Saint-Gobain gagnait aussi du terrain et s'octroyait 1,46% à la mi-journée, alors que Bank of America Merrill Lynch est passé de "sous-performance" à "achat" sur le titre.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 1,06%, tandis que le DAX pliait de 1,05% et le Footsie 100 lâchait 1,16%.
Deux statistiques américaines étaient attendues dans l’après-midi: l’indice Empire State d’activité manufacturière de la Fed de New York en avril, puis l’indice NAHB de confiance des constructeurs et promoteurs immobiliers pour le même mois.
Le PIB de la Chine a progressé de 7,7% en rythme annualisé au premier trimestre, contre 8% anticipé par le consensus Thomson Reuters et après 7,9% sur les trois derniers mois de 2012.
La production industrielle a quant à elle augmenté de 8,9% en mars, contre une hausse de 10% espérée et après +9,9% en janvier-février. La Banque mondiale a par ailleurs revu en baisse de 0,1 point à 8,3% sa prévision de croissance pour la Chine en 2013.
En Europe, le commerce extérieur de la zone euro a été excédentaire de 10,4 milliards d’euros en février après un déficit de 4,7 milliards en janvier.
Du côté des valeurs, ArcelorMittal a notamment été affecté par le ralentissement de la croissance en Chine et abandonnait 4,07% en milieu de séance.
Egalement dans le rouge, France Télécom reculait de 0,65% , alors que chiffre d’affaires des filiales de l’opérateur a stagné à l’étranger à périmètre constant l’an dernier, selon Les Echos.
Le groupe a fait savoir, par ailleurs, que l’objectif de 300 millions de clients à la fin 2015, contre 230 millions fin 2012, risque d’être difficile à atteindre.
Quant aux banques, elles évoluaient en forte baisse. BNP Paribas pliait de 1,77% à mi-séance, tandis que Société Générale et Crédit Agricole lâchaient 3,11% et 2,46% respectivement.
A l'inverse, EADS avançait de 0,16% en milieu de séance, alors que la maison mère d’Airbus a annoncé être entrée en négociation avec le gouvernement français en vue de lui racheter un bloc de 1,56% de ses propres actions.
Saint-Gobain gagnait aussi du terrain et s'octroyait 1,46% à la mi-journée, alors que Bank of America Merrill Lynch est passé de "sous-performance" à "achat" sur le titre.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 1,06%, tandis que le DAX pliait de 1,05% et le Footsie 100 lâchait 1,16%.
Deux statistiques américaines étaient attendues dans l’après-midi: l’indice Empire State d’activité manufacturière de la Fed de New York en avril, puis l’indice NAHB de confiance des constructeurs et promoteurs immobiliers pour le même mois.