Investing.com - Le dollar U.S. gardait la main face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, se remettant quelque peu des turbulences d'hier, profitant des rumeurs prééminentes d'interruption des aides provenant des banques centrales.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a cependant un peu moins fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,48% pour se hisser à 96,47.
Le billet vert avait en effet subi hier une hémorragie de 2,7% par rapport à son homologue nippon, dans le sillage de l'effondrement de la bourse de Tokyo après que la Banque du Japon ait entraîné une déception persistante en n'annonçant après sa réunion aucune mesure destinée à juguler la volatilité frappant les bons du trésor du pays.
Son attentisme et les bruits évoquant une éventuelle diminution des 85 milliards d'USD d'injections de liquidités de la part de la Réserve Fédérale alimentaient l'angoisse diffuse d'une fin imminente des aides des banques centrales.
Il bétonnait cependant contre l'euro, l'EUR/USD laissant échapper 0,21% pour trébucher à 1,3285.
La monnaie unique se trouvait fragilisée par l'augmentation des coûts des emprunts des pays où elle a cours, ceux de l'Italie ayant atteint leur niveau le plus élevé depuis mars au cours d'enchères d'obligations à douze mois.
Le billet vert a par contre cédé quelques centimètres du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,09% pour se hisser à 1,5658.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des partisans après que des chiffres officiels aient montré pour le mois dernier la plus belle embellie du marché du travail des deux dernières années dans l'économie où elle a cours, confortant l'hypothèse de son redressement.
Le bureau britannique des statistiques a en effet dénombré 8.600 demandeurs d'emploi de moins en mai, au lieu des 5.000 envisagés.
L'organisme précisait cependant que le taux de chômage demeurait sans surprise stable à 7,8% pour le quatrième mois de l'année.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,33% pour culminer à 0,9276.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD gagnant 1,26% pour se retrouver à 0,9542, le NZD/USD arrachant 1,38% pour culminer à 0,7979 et l'USD/CAD se rétractant de 0,11% pour descendre à 1,0177.
Une étude de la Westpac Banking Corporation, second prêteur d'Australie, avait montré à l'aube que son baomètre du moral des consommateurs du pays avait grimpé de 4,7% en juin, après avoir sombré de 7% le mois précédent, mais elle précisait que l'embellie avait peu de chances de durer en raison de perspectives économiques peu encourageantes.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,22% pour se situer à 81,44.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a cependant un peu moins fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,48% pour se hisser à 96,47.
Le billet vert avait en effet subi hier une hémorragie de 2,7% par rapport à son homologue nippon, dans le sillage de l'effondrement de la bourse de Tokyo après que la Banque du Japon ait entraîné une déception persistante en n'annonçant après sa réunion aucune mesure destinée à juguler la volatilité frappant les bons du trésor du pays.
Son attentisme et les bruits évoquant une éventuelle diminution des 85 milliards d'USD d'injections de liquidités de la part de la Réserve Fédérale alimentaient l'angoisse diffuse d'une fin imminente des aides des banques centrales.
Il bétonnait cependant contre l'euro, l'EUR/USD laissant échapper 0,21% pour trébucher à 1,3285.
La monnaie unique se trouvait fragilisée par l'augmentation des coûts des emprunts des pays où elle a cours, ceux de l'Italie ayant atteint leur niveau le plus élevé depuis mars au cours d'enchères d'obligations à douze mois.
Le billet vert a par contre cédé quelques centimètres du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,09% pour se hisser à 1,5658.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des partisans après que des chiffres officiels aient montré pour le mois dernier la plus belle embellie du marché du travail des deux dernières années dans l'économie où elle a cours, confortant l'hypothèse de son redressement.
Le bureau britannique des statistiques a en effet dénombré 8.600 demandeurs d'emploi de moins en mai, au lieu des 5.000 envisagés.
L'organisme précisait cependant que le taux de chômage demeurait sans surprise stable à 7,8% pour le quatrième mois de l'année.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,33% pour culminer à 0,9276.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD gagnant 1,26% pour se retrouver à 0,9542, le NZD/USD arrachant 1,38% pour culminer à 0,7979 et l'USD/CAD se rétractant de 0,11% pour descendre à 1,0177.
Une étude de la Westpac Banking Corporation, second prêteur d'Australie, avait montré à l'aube que son baomètre du moral des consommateurs du pays avait grimpé de 4,7% en juin, après avoir sombré de 7% le mois précédent, mais elle précisait que l'embellie avait peu de chances de durer en raison de perspectives économiques peu encourageantes.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,22% pour se situer à 81,44.