Investing.com - Les bourses européennes étaient encore plus en grande forme ce lundi après-midi, profitant toujours des propos tenus la semaine passée par le chef de l'autorité monétaire régionale, malgré l'ombre d'une réduction prochaine des apports de capitaux de la Réserve Fédérale.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 2,04%, le CAC 40 français de 1,74%, et le DAX 30 allemand de 2,34%.
Les cours gardaient la corde après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré la semaine passée que cette dernière ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée".
Le gouvernement de l'Allemagne avait fait savoir à la mi-journée que la production industrielle nationale avait reculé de 1% en mai, au lieu des 0,5% déjà redoutés.
Il avait auparavant déploré un excédent décevant pour la balance commerciale, avec 14,1 milliards d'euros en mai, les exportations subissant une érosion de 4,8% d'une année sur l'autre, et les importations de 2,6%.
Les experts pensaient pourtant le voir s'élever à 17,5 milliards d'euros.
La finance était plus unanimement en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 1,78%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,27 et 2,87%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 2 et 1,07%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,76 et 1,49%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Novartis bondissait de 1,41% après avoir annoncé que son traitement pour le psoriasis avoir atteint tous les objectifs primaires et secondaires des la troisième phase des tests cliniques.
A Londres, le FTSE 100 conquuérait 0,88%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la plupart de leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings grimpait de 0,70%, et Lloyds Banking de 2,11%, Barclays et la Royal Bank of Scotland se plaçant en pointe avec 2,14 et 2,42%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavannt fait savoir que Mervyn Davies, président de Standard Chartered, serait en train de rassembler un groupe d'investisseurs afin de formuler une offre pour acquérir les parts de la troisième détenues par le gouvernement britannique.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient plus divisées, le mastodonte minier BHP Billiton et le poids lourd des hydrocarbures Anglo American amassant 0,54 et 1,42%, Rio Tinto et Vedanta Resources suivant le chemin inverse avec 0,97 et 2,23%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,48%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,60% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,65%.
Les autorités allemandes comptaient bientôt dévoiler le volume de la production industrielle, tandis que le groupe des ministres des finances du bloc euro procèdera pour sa part aujourd'hui à des pourparlers à Bruxelles.
Le chef de l'autorités monétaire de l'Europe y comparaitra quand à lui devant le comité économique aux affaires monétaires du parlement européen.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 2,04%, le CAC 40 français de 1,74%, et le DAX 30 allemand de 2,34%.
Les cours gardaient la corde après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré la semaine passée que cette dernière ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée".
Le gouvernement de l'Allemagne avait fait savoir à la mi-journée que la production industrielle nationale avait reculé de 1% en mai, au lieu des 0,5% déjà redoutés.
Il avait auparavant déploré un excédent décevant pour la balance commerciale, avec 14,1 milliards d'euros en mai, les exportations subissant une érosion de 4,8% d'une année sur l'autre, et les importations de 2,6%.
Les experts pensaient pourtant le voir s'élever à 17,5 milliards d'euros.
La finance était plus unanimement en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 1,78%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,27 et 2,87%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 2 et 1,07%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,76 et 1,49%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Novartis bondissait de 1,41% après avoir annoncé que son traitement pour le psoriasis avoir atteint tous les objectifs primaires et secondaires des la troisième phase des tests cliniques.
A Londres, le FTSE 100 conquuérait 0,88%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la plupart de leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings grimpait de 0,70%, et Lloyds Banking de 2,11%, Barclays et la Royal Bank of Scotland se plaçant en pointe avec 2,14 et 2,42%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavannt fait savoir que Mervyn Davies, président de Standard Chartered, serait en train de rassembler un groupe d'investisseurs afin de formuler une offre pour acquérir les parts de la troisième détenues par le gouvernement britannique.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient plus divisées, le mastodonte minier BHP Billiton et le poids lourd des hydrocarbures Anglo American amassant 0,54 et 1,42%, Rio Tinto et Vedanta Resources suivant le chemin inverse avec 0,97 et 2,23%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,48%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,60% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,65%.
Les autorités allemandes comptaient bientôt dévoiler le volume de la production industrielle, tandis que le groupe des ministres des finances du bloc euro procèdera pour sa part aujourd'hui à des pourparlers à Bruxelles.
Le chef de l'autorités monétaire de l'Europe y comparaitra quand à lui devant le comité économique aux affaires monétaires du parlement européen.