Investing.com - Les options sur le brut ont conclu avec un sourire, la popularité des valeurs dépendantes de la croissance ayant rebondi après qu'il ait été montré que les industries de la Chine avaient réalisé des performances supérieures aux prédictions le mois passé, éloignant ainsi le spectre d'une perte de vitesse de sa part.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 106,17 USD le baril à la clôture des transactions, avec une poussée de 2,7%.
Ils ont en effet rebondi après que les autorités chinoises aient signalé que la production industrielle avait nettement dépassé les attentes en juillet et que l'inflation avait été constante.
La première avait gonflé de 9,7% en juillet, au lieu des 9,0% attendus après les 8,9% précédents.
Le bureau national des statistiques constatit de son côté le maintien de la seconde à 2,7% dans le même temps, alors que 2,8% étaient envisagés.
Les chiffres du commerce extérieur diffusés la veille avaient aussi mis en relief des augmentations des importations et des exportations dans le même temps, dissipant ainsi le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Celle-ci a ainsi fait entrer 26,11 millions de tonnes d'or noir le mois passé, soit 20% de plus que sur une période identique de l'année dernière.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les cours auront toute de même laissé échapper 0,6% hebdomadaires, en raison de l'ombre persistante des incertitudes concernant les orientations futures de la banque centrale des Etats-Unis.
Les propos tenus par de hauts responsables, y compris les directeurs des réserves fédérales de Chicago et Dallas, ont en effet laissé entendre qu'une diminution des coups de pouce pourrait être à l'odre du jour dès leur réunion de septembre.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Les informations officielles de la semaine prochaine sur le volume des ventes au détail, l'inflation à la consommation des Etats-Unis, ainsi que d'autres sur le domaine de l'immobilier et le secteur secondaire, seront surveillées comme le lait sur le feu.
L'attention est désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont pour leur part empoché 1,4% lors de la dernière session pour grimper à 108,22 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont toutefois terminé la semaine avec une rétraction de 0,65%, pour s'établir à 2,05 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 106,17 USD le baril à la clôture des transactions, avec une poussée de 2,7%.
Ils ont en effet rebondi après que les autorités chinoises aient signalé que la production industrielle avait nettement dépassé les attentes en juillet et que l'inflation avait été constante.
La première avait gonflé de 9,7% en juillet, au lieu des 9,0% attendus après les 8,9% précédents.
Le bureau national des statistiques constatit de son côté le maintien de la seconde à 2,7% dans le même temps, alors que 2,8% étaient envisagés.
Les chiffres du commerce extérieur diffusés la veille avaient aussi mis en relief des augmentations des importations et des exportations dans le même temps, dissipant ainsi le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Celle-ci a ainsi fait entrer 26,11 millions de tonnes d'or noir le mois passé, soit 20% de plus que sur une période identique de l'année dernière.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les cours auront toute de même laissé échapper 0,6% hebdomadaires, en raison de l'ombre persistante des incertitudes concernant les orientations futures de la banque centrale des Etats-Unis.
Les propos tenus par de hauts responsables, y compris les directeurs des réserves fédérales de Chicago et Dallas, ont en effet laissé entendre qu'une diminution des coups de pouce pourrait être à l'odre du jour dès leur réunion de septembre.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Les informations officielles de la semaine prochaine sur le volume des ventes au détail, l'inflation à la consommation des Etats-Unis, ainsi que d'autres sur le domaine de l'immobilier et le secteur secondaire, seront surveillées comme le lait sur le feu.
L'attention est désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont pour leur part empoché 1,4% lors de la dernière session pour grimper à 108,22 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont toutefois terminé la semaine avec une rétraction de 0,65%, pour s'établir à 2,05 USD de mieux que leurs homologues américaines.