Investing.com - Le dollar U.S. a sauvé la face contre à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, sur fond de reflux de l'angoisse de frappes contre la Syrie, alors que son homologue britannique s'accrochait à un pic de sept mois établi grâce au sursaut sur le marché du travail là où elle a cours.
En seconde partie de séance européenne, il a nettement moins fléchi devant la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,28% pour se hisser à 1,5775, après avoir même atteint 1,5826, son plus haut niveau depuis février.
Son adversaire avait atteint un pic de sept mois après que le bureau des statistiques du Royaume-Uni a ainsi vu la proportion des demandeurs d'emploi se résorber depuis 7,8 vers 7,7% en juillet.
Les experts pensaient pourtant qu'une stagnation semblait au menu.
Il a aussi noté 32.600 inscrits de moins en août, au lieu des 22.000 espérés.
Ces belles performances ont du coup alimenté des rumeurs peu crédibles de remontée anticipée des taux de son émettrice.
Elle avait en effet réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plancher historique tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Le billet vert a également cédé quelques centimètres de terrain à l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,02% pour grimper à 1,3268, aux abords se son plus haut niveau en six semaines.
Le soulagement était notable après que le président américain Barack Obama ait accepté d'étudier la proposition russe de placer l'arsenal chimique syrien sous surveillance internationale, afin d'éviter une intervention militaire de sa part.
L'espoir que la seconde économie mondiale arrive à se sortir de l'impasse avait d'autre part été renforcé par les bons résultats chinois.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,16% pour se retrouver à 100,22, s'accrochant à un sommet de deux mois.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,08% pour tomber à 0,9341.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD se rétractant de 0,24% pour descendre à 0,9290, le NZD/USD laissant échapper 0,10% pour toucher le fond à 0,8059 et l'USD/CAD régressant de 0,09% pour aller vers 1,0339.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,05% pour se situer à 81,78.
En seconde partie de séance européenne, il a nettement moins fléchi devant la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,28% pour se hisser à 1,5775, après avoir même atteint 1,5826, son plus haut niveau depuis février.
Son adversaire avait atteint un pic de sept mois après que le bureau des statistiques du Royaume-Uni a ainsi vu la proportion des demandeurs d'emploi se résorber depuis 7,8 vers 7,7% en juillet.
Les experts pensaient pourtant qu'une stagnation semblait au menu.
Il a aussi noté 32.600 inscrits de moins en août, au lieu des 22.000 espérés.
Ces belles performances ont du coup alimenté des rumeurs peu crédibles de remontée anticipée des taux de son émettrice.
Elle avait en effet réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plancher historique tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Le billet vert a également cédé quelques centimètres de terrain à l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,02% pour grimper à 1,3268, aux abords se son plus haut niveau en six semaines.
Le soulagement était notable après que le président américain Barack Obama ait accepté d'étudier la proposition russe de placer l'arsenal chimique syrien sous surveillance internationale, afin d'éviter une intervention militaire de sa part.
L'espoir que la seconde économie mondiale arrive à se sortir de l'impasse avait d'autre part été renforcé par les bons résultats chinois.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,16% pour se retrouver à 100,22, s'accrochant à un sommet de deux mois.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,08% pour tomber à 0,9341.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD se rétractant de 0,24% pour descendre à 0,9290, le NZD/USD laissant échapper 0,10% pour toucher le fond à 0,8059 et l'USD/CAD régressant de 0,09% pour aller vers 1,0339.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,05% pour se situer à 81,78.