Investing.com - Les options sur le brut étaient à la fête ce mardi, s'élevant vers un pic des trois derniers jours, portées par le large affaiblissment du dollar U.S. et l'aggravation de la crainte d'une perturbation des livraisons en provenance de l'Iran.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 95.03 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 1.05%.
Ils avaient auparavant culminé à 95.12 USD, leur cours le plus élevé depuis le 15 décembre, avec un sursaut de 1.15%.
Cette progression survenait alors que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 0.35% de son côté pour se situer à 80.65.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Ils ont également été tirés vers le haut par la possibilité que d'éventuelles sanctions relatives au programme nucléaire iranien ne viennent gèner l'approvisionnement émanant du cinquième exportateur mondial.
Les onze membres d'une coalition comprenant notamment les Etats-Unis ainsi que certains pays européens et arabes se réuniront à Rome en cours de journée afin de discuter de la mise en place de nouveaux moyens de rétorsion envers ce poids lourds moyen-oriental.
La Bank of America, une des banques les plus en vue de Wall Street, a pour sa part signalé dans un article paru hier que les cours pourraient "s'envoler de 40 USD du baril" si des sanctions internationales devaient interrompre le flux fourni par l'Iran.
Ce dernier demeure le quatrième extracteur d'or noir du monde, avec près de 5% du volume mondial en 2011, et la menace d'une perturbation majeure des livraisons qui en proviennent a contribué à soutenir les prix de ces dernières semaines.
Les investisseurs ont continué à surveiller l'évolution de la crise de la dette en zone euro, après que les ministres des finances se soient mis d'accord pour fournir 150 milliards d'euros de prêts au FMI, soit nettement moins que les 200 milliards envisagés lors du sommet de l'UE de ce mois-ci.
L'Espagne avait pour sa part prévu de mettre aux enchères des obligations à trois et six mois dans la journée, au cours de ce qui devrait constituer un test majeur de la confiance des acteurs des marchés envers les dettes du pays.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont bondi de 1.2% pour grimper à 104.89 USD du baril dans le même temps, soit 9.77 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 95.03 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 1.05%.
Ils avaient auparavant culminé à 95.12 USD, leur cours le plus élevé depuis le 15 décembre, avec un sursaut de 1.15%.
Cette progression survenait alors que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 0.35% de son côté pour se situer à 80.65.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Ils ont également été tirés vers le haut par la possibilité que d'éventuelles sanctions relatives au programme nucléaire iranien ne viennent gèner l'approvisionnement émanant du cinquième exportateur mondial.
Les onze membres d'une coalition comprenant notamment les Etats-Unis ainsi que certains pays européens et arabes se réuniront à Rome en cours de journée afin de discuter de la mise en place de nouveaux moyens de rétorsion envers ce poids lourds moyen-oriental.
La Bank of America, une des banques les plus en vue de Wall Street, a pour sa part signalé dans un article paru hier que les cours pourraient "s'envoler de 40 USD du baril" si des sanctions internationales devaient interrompre le flux fourni par l'Iran.
Ce dernier demeure le quatrième extracteur d'or noir du monde, avec près de 5% du volume mondial en 2011, et la menace d'une perturbation majeure des livraisons qui en proviennent a contribué à soutenir les prix de ces dernières semaines.
Les investisseurs ont continué à surveiller l'évolution de la crise de la dette en zone euro, après que les ministres des finances se soient mis d'accord pour fournir 150 milliards d'euros de prêts au FMI, soit nettement moins que les 200 milliards envisagés lors du sommet de l'UE de ce mois-ci.
L'Espagne avait pour sa part prévu de mettre aux enchères des obligations à trois et six mois dans la journée, au cours de ce qui devrait constituer un test majeur de la confiance des acteurs des marchés envers les dettes du pays.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont bondi de 1.2% pour grimper à 104.89 USD du baril dans le même temps, soit 9.77 USD de mieux que leurs homologues américaines.