Investing.com - Les bourses européennes étaient largement en berne ce lundi, la frilosité ayant entamé un retour après que Mario Monti, premier ministre italien, ait déclaré que les désaccords au sein du bloc euro mettaient son futur en péril.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.24%, et le CAC 40 français de 0.43%, tandis que le DAX 30 allemand réussissait à arracher 0.03%.
M. Monti a en effet estimé dans un entretien avec le magazine allemand Der Spiegel que les tensions au sein de la région "portaient les traits d'une dissolution psychologique de l'Europe" et ajouté qu'il fallait "travailler dur pour lutter contre cette tendance".
Le moral restait toutefois plutôt bon après que la Banque Centrale Européenne ait fait savoir jeudi qu'elle pourrait relancer son programme d'acquisitions de bons du trésor, afin de contribuer à rabaisser les coûts des emprunts espagnols et italiens.
Mais l'inquiétude demeurait quand à son efficacité, en raison des différences qui ne manqueront pas de séparer la nouvelle méthode et l'ancienne.
La finance ne savait sur quel pied danser, les français Société Générale et BNP Paribas engrangeant respectivement 0.49 et 2.59%, tandis que leurs collègues allemands Deutsche Bank et Commerzbank laissaient échapper 0.79 et 0.02%.
Il en était de même dans la périphérie de la zone, l'italien Unicredit glissant de 1.43% et son compatriote Intesa Sanpaolo de 0.53%, tandis qu'en Espagne, Banco Santander reculait de 0.6% et son rival BBVA grignotait 0.21%.
A Londres, le FTSE 100 a plongé de 1.18%, tiré vers le bas par son secteur bancaire en déroute.
HSBC Holdings et Lloyds Banking ont ainsi laissé échapper 1.18 et 0.62%, suivis par Barclays avec 0.04%.
Les matières premières étaient elles aussi sans direction claire, le mastodonte minier BHP Billiton laissant échapper 0.07%, sa némésis Rio Tinto raflant 0.91%, tandis que du côté des cuivriers, Xstrata battait en retraite de 0.42% et Kazakhmys conquérait 0.48%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles largement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 1.69%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, fera de son côté une apparition dans l'après-midi, et ses propos seront décortiqués en détail.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.24%, et le CAC 40 français de 0.43%, tandis que le DAX 30 allemand réussissait à arracher 0.03%.
M. Monti a en effet estimé dans un entretien avec le magazine allemand Der Spiegel que les tensions au sein de la région "portaient les traits d'une dissolution psychologique de l'Europe" et ajouté qu'il fallait "travailler dur pour lutter contre cette tendance".
Le moral restait toutefois plutôt bon après que la Banque Centrale Européenne ait fait savoir jeudi qu'elle pourrait relancer son programme d'acquisitions de bons du trésor, afin de contribuer à rabaisser les coûts des emprunts espagnols et italiens.
Mais l'inquiétude demeurait quand à son efficacité, en raison des différences qui ne manqueront pas de séparer la nouvelle méthode et l'ancienne.
La finance ne savait sur quel pied danser, les français Société Générale et BNP Paribas engrangeant respectivement 0.49 et 2.59%, tandis que leurs collègues allemands Deutsche Bank et Commerzbank laissaient échapper 0.79 et 0.02%.
Il en était de même dans la périphérie de la zone, l'italien Unicredit glissant de 1.43% et son compatriote Intesa Sanpaolo de 0.53%, tandis qu'en Espagne, Banco Santander reculait de 0.6% et son rival BBVA grignotait 0.21%.
A Londres, le FTSE 100 a plongé de 1.18%, tiré vers le bas par son secteur bancaire en déroute.
HSBC Holdings et Lloyds Banking ont ainsi laissé échapper 1.18 et 0.62%, suivis par Barclays avec 0.04%.
Les matières premières étaient elles aussi sans direction claire, le mastodonte minier BHP Billiton laissant échapper 0.07%, sa némésis Rio Tinto raflant 0.91%, tandis que du côté des cuivriers, Xstrata battait en retraite de 0.42% et Kazakhmys conquérait 0.48%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles largement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 1.69%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.06% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, fera de son côté une apparition dans l'après-midi, et ses propos seront décortiqués en détail.