Investing.com - L'euro restait en berne face au dollar U.S. lors des rares transactions de ce mercredi après-midi, les observateurs guettant les résultats de la réunino d'orientation de la Banque Centrale Européenne de demain, dans l'attente grandissante d'accomodements supplémentaires.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2556 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.2566, perdant 0.33%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2495, son plancher du 25 mai, et de rencontrer de la résistance à 1.2663, son plafond du 16 juin.
Un passage du taux directeur BCE de son plus bas niveau historique actuel, soit 1%, vers 0.75% semble en effet de plus en plus probable afin d'encourager la croissance de la région, suite à une série de résultats économiques médiocres.
La valeur finale de l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire de la région ayant adopté la monnaie unique s'est révélée ce matin avoir dû être revue à la hausse, depuis les 46.8 évalués au préalable vers 47.1 pour le mois passé, demeurant toutefois sous la barre des 50 séparant régressions et avancées pour le cinquième mois d'affilée.
Des chiffres officiels avaient par ailleurs souligné à la mi-journée que les ventes au détail du bloc ayant adopté la monnaie unique avaient augmenté de 0.6% en mai après ajustement saisonnier, dépassant ainsi largement les 0.3% espérés, mais leur diminution d'avril, préalablement évaluée à 1%, a toutefois dû être révisée vers 1.4%.
Le rapport américain de vendredi sur la masse salariale hors agriculture est aussi très attendu, sur fond de rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait mettre en place une troisième série d'apports de capitaux afin de relancer une économie subissant le choc en retour de la crise de la dette sévissant en Europe.
La devise européenne a par contre mieux résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP ne cédant que 0.02% pour glisser à 0.8034.
Il avait auparavant été montré que l'activité des entreprises de services britanniques avait connu en juin son expansion la plus faible des huit derniers mois, alimentant ainsi les rumeurs de nouveaux apports de capitaux de la part de la Banque d'Angleterre.
L'indice des directeurs des achats dans ce domaine, établi conjointementt par le group de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS est en effet tombé à de 53.3 vers 51.3, alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 53.
Le volume des transactions devrait donc rester léger, les Etats-Unis demeurant inactifs en raison de leur fête de l'indépendance.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2556 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.2566, perdant 0.33%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2495, son plancher du 25 mai, et de rencontrer de la résistance à 1.2663, son plafond du 16 juin.
Un passage du taux directeur BCE de son plus bas niveau historique actuel, soit 1%, vers 0.75% semble en effet de plus en plus probable afin d'encourager la croissance de la région, suite à une série de résultats économiques médiocres.
La valeur finale de l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire de la région ayant adopté la monnaie unique s'est révélée ce matin avoir dû être revue à la hausse, depuis les 46.8 évalués au préalable vers 47.1 pour le mois passé, demeurant toutefois sous la barre des 50 séparant régressions et avancées pour le cinquième mois d'affilée.
Des chiffres officiels avaient par ailleurs souligné à la mi-journée que les ventes au détail du bloc ayant adopté la monnaie unique avaient augmenté de 0.6% en mai après ajustement saisonnier, dépassant ainsi largement les 0.3% espérés, mais leur diminution d'avril, préalablement évaluée à 1%, a toutefois dû être révisée vers 1.4%.
Le rapport américain de vendredi sur la masse salariale hors agriculture est aussi très attendu, sur fond de rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait mettre en place une troisième série d'apports de capitaux afin de relancer une économie subissant le choc en retour de la crise de la dette sévissant en Europe.
La devise européenne a par contre mieux résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP ne cédant que 0.02% pour glisser à 0.8034.
Il avait auparavant été montré que l'activité des entreprises de services britanniques avait connu en juin son expansion la plus faible des huit derniers mois, alimentant ainsi les rumeurs de nouveaux apports de capitaux de la part de la Banque d'Angleterre.
L'indice des directeurs des achats dans ce domaine, établi conjointementt par le group de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS est en effet tombé à de 53.3 vers 51.3, alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 53.
Le volume des transactions devrait donc rester léger, les Etats-Unis demeurant inactifs en raison de leur fête de l'indépendance.