Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris abandonnait 2,35% à mi-séance jeudi, plombé par les derniers commentaires du président de la Réserve fédérale américaine, Ben Bernanke, indiquant la possibilité d'une diminution du programme de rachat d'actifs dans l'année.
A l'issue de sa réunion mensuelle de politique monétaire, mercredi, la Fed a laissé le taux des Fed funds à un niveau proche de zéro et maintenu sa politique monétaire ultra-accommodante, comme prévu.
En revanchen Bernanke a annoncé que le montant des rachats d’actifs pourrait diminuer en cours d’année avant un arrêt complet à la mi-2014, sous réserve que la conjoncture continue de s’améliorer.
Sur le front des statistiques, l’activité manufacturière en Chine a continué de ralentir au mois de juin, l’indice provisoire PMI établi par HSBC reculant de 0,9 point à 48,2, au plus bas depuis septembre.
Par ailleirs, l'indice "flash" PMI composite (synthèse entre le manufacturier et les services) Markit s’est redressé de 2,2 points à 46,8 en France en juin, de 1,2 point à 48,9 dans la zone euro et de 0,7 point à 50,9 en Allemagne.
Du côté des valeurs, les banques évoluaient en forte baisse, jeudi. A mi-séance, BNP Paribas lâchait 2,63%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole pliaient de 3,44% et de 2,93% respectivement.
Egalement dans le rouge, LVMH abandonnait 2,74% en milieu de séance, plombé par l'indicateur chinois. Le groupe réalise environ un tiers de son chiffre d’affaires en Asie.
Les valeurs cycliques ont elles aussi été affectées par le ralentissement de l'activité manufacturière en Chine. A la mi-journée, ArcelorMittal reculait de 2,09%, Lafarge pliait de 2,91% et Total lâchait 1,78%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 2,44% et le DAX lâchait 2,46%, tandis que le Footsie 100 pliait de 2,25%.
Quatre indicateurs américains étaient attendus dans l'après-midi : les inscriptions hebdomadaires au chômage, les ventes de logements anciens, l’indice des indicateurs avancés, et l’indice de la Fed de Philadelphie.
A l'issue de sa réunion mensuelle de politique monétaire, mercredi, la Fed a laissé le taux des Fed funds à un niveau proche de zéro et maintenu sa politique monétaire ultra-accommodante, comme prévu.
En revanchen Bernanke a annoncé que le montant des rachats d’actifs pourrait diminuer en cours d’année avant un arrêt complet à la mi-2014, sous réserve que la conjoncture continue de s’améliorer.
Sur le front des statistiques, l’activité manufacturière en Chine a continué de ralentir au mois de juin, l’indice provisoire PMI établi par HSBC reculant de 0,9 point à 48,2, au plus bas depuis septembre.
Par ailleirs, l'indice "flash" PMI composite (synthèse entre le manufacturier et les services) Markit s’est redressé de 2,2 points à 46,8 en France en juin, de 1,2 point à 48,9 dans la zone euro et de 0,7 point à 50,9 en Allemagne.
Du côté des valeurs, les banques évoluaient en forte baisse, jeudi. A mi-séance, BNP Paribas lâchait 2,63%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole pliaient de 3,44% et de 2,93% respectivement.
Egalement dans le rouge, LVMH abandonnait 2,74% en milieu de séance, plombé par l'indicateur chinois. Le groupe réalise environ un tiers de son chiffre d’affaires en Asie.
Les valeurs cycliques ont elles aussi été affectées par le ralentissement de l'activité manufacturière en Chine. A la mi-journée, ArcelorMittal reculait de 2,09%, Lafarge pliait de 2,91% et Total lâchait 1,78%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 2,44% et le DAX lâchait 2,46%, tandis que le Footsie 100 pliait de 2,25%.
Quatre indicateurs américains étaient attendus dans l'après-midi : les inscriptions hebdomadaires au chômage, les ventes de logements anciens, l’indice des indicateurs avancés, et l’indice de la Fed de Philadelphie.