Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce mardi, alors que les inquiétudes concernant la lutte contre le problème du surendettement de la zone euro poussaient les investisseurs vers les valeurs sûres.
En seconde partie de séance européenne, l'euro fléchissait beaucoup moins devant lui, l'EUR/USD perdant 0.18% pour tomber à 1.3713.
Les craintes liées à la crise de la dette souveraine européenne avaient été exacerbées par la remise en question par l'agence Moody's de la notation monétaire triple A de la France.
Une rapport avait auparavant signalé que l'indice du moral économique allemand avait reculé ce mois-ci vers sa pire valeur en trois mois, attisant l'angoisse d'une récession touchant la première économie régionale.
Le billet vert a également gagné un peu moins de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.13% pour chuter à 1.5723.
Dans son rapport, le bureau britannique des statistiques a en effet montré que son taux d'augmentation annuel des prix de vente au détail était de 5.2% pour le mois dernier, égalant ainsi son record de septembre 2008, et alimentant l'angoisse d'une période prolongée de forte inflation et de faible croissance au Royaume-Uni.
Le yen lui a toutefois fait subir sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY reculant de 0.09% pour descendre à 76.75 et l'USD/CHF grignotant 0.27% pour culminer à 0.9016.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais a tenu bon contre la néo-zélandaise, l'USD/CAD laissant échapper 0.21% pour descendre à 1.0213, l'AUD/USD cédant 0.14% pour se retrouver à 1.0771 et le NZD/USD se laissant arracher 0.1% pour toucher le fond à 0.7906.
Le compte-rendu de la réunion d'orientation de la politique monétaire de la Réserve Bancaire d'Australie d'octobre avait signalé en début de matinée la possibilité d'une baisse des taux dans un futur proche en cas de perspectives d'inflation en baisse.
Les autorités chinoises ont pour leur part fait savoir ce matin que le produit intérieur brut national du troisième trimestre 2011 n'avait progressé que de 9.1% par rapport à l'année dernière, au lieu des 9.3% attendus, marquant le plus faible taux de croissance de la seconde économie mondiale depuis le second trimestre 2009.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grignoté 0.04% pour se situer à 77.56.
Une étude émanant du gouvernement américain avait auparavant signalé que l'inflation des prix à la production nationale avait dépassé les attentes en septembre, se montant à 0.8%, après avoir été nulle le mois précédent, alors que les experts ne pensaient pas la voir dépasser 0.2% pour la période considérée.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait quand à lui prendre la parole dans la soirée lors de la cinquante-sixième conférence économique de celle-ci à Boston.
En seconde partie de séance européenne, l'euro fléchissait beaucoup moins devant lui, l'EUR/USD perdant 0.18% pour tomber à 1.3713.
Les craintes liées à la crise de la dette souveraine européenne avaient été exacerbées par la remise en question par l'agence Moody's de la notation monétaire triple A de la France.
Une rapport avait auparavant signalé que l'indice du moral économique allemand avait reculé ce mois-ci vers sa pire valeur en trois mois, attisant l'angoisse d'une récession touchant la première économie régionale.
Le billet vert a également gagné un peu moins de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.13% pour chuter à 1.5723.
Dans son rapport, le bureau britannique des statistiques a en effet montré que son taux d'augmentation annuel des prix de vente au détail était de 5.2% pour le mois dernier, égalant ainsi son record de septembre 2008, et alimentant l'angoisse d'une période prolongée de forte inflation et de faible croissance au Royaume-Uni.
Le yen lui a toutefois fait subir sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY reculant de 0.09% pour descendre à 76.75 et l'USD/CHF grignotant 0.27% pour culminer à 0.9016.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais a tenu bon contre la néo-zélandaise, l'USD/CAD laissant échapper 0.21% pour descendre à 1.0213, l'AUD/USD cédant 0.14% pour se retrouver à 1.0771 et le NZD/USD se laissant arracher 0.1% pour toucher le fond à 0.7906.
Le compte-rendu de la réunion d'orientation de la politique monétaire de la Réserve Bancaire d'Australie d'octobre avait signalé en début de matinée la possibilité d'une baisse des taux dans un futur proche en cas de perspectives d'inflation en baisse.
Les autorités chinoises ont pour leur part fait savoir ce matin que le produit intérieur brut national du troisième trimestre 2011 n'avait progressé que de 9.1% par rapport à l'année dernière, au lieu des 9.3% attendus, marquant le plus faible taux de croissance de la seconde économie mondiale depuis le second trimestre 2009.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grignoté 0.04% pour se situer à 77.56.
Une étude émanant du gouvernement américain avait auparavant signalé que l'inflation des prix à la production nationale avait dépassé les attentes en septembre, se montant à 0.8%, après avoir été nulle le mois précédent, alors que les experts ne pensaient pas la voir dépasser 0.2% pour la période considérée.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait quand à lui prendre la parole dans la soirée lors de la cinquante-sixième conférence économique de celle-ci à Boston.