Investing.com - Les options sur l'or étaient légèrement en forme ce jeudi, le net fléchissement du dollar U.S. encourageant la hausse des prix, les investisseurs demeurant nerveux en raison de leur crainte d'une extension du problème du surendettement aux plus grosses économies de la zone euro.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 698.15 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.27%.
Ils avaient précédement culminé à 1 698.25 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.3% d'augmentation.
La remontée de l'or est survenue alors que l'étalon américain régressait, augmentant du même coup l'attrait des matières premières, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.25% de son côté pour se situer à 79.1.
Les observateurs continuaient à surveiller de près l'évolution de la crise de la dette souveraine de la zone euro, l'Allemagne n'ayant en effet réussi à écouler que 3.64 milliards d'euros en obligations à dix ans au lieu des 6 milliards d'euros envisagés, au cours de la vente aux enchères la moins réussie depuis l'introduction de la devise européenne.
L'agence de notation Fitch a quand à elle prévenu que la France pourrait perdre sa notation triple A si les dirigeants de l'Union Européenne ne faisaient rien pour éviter une aggravation de la situation.
En temps normal, ces nouvelles auraient entraîné une hausse du métal précieux en tant que valeur refuge, mais les acteurs des marchés ont préféré revendre l'or qui leur profite pour colmater les brèches subies ailleurs.
Le Fonds Monétaire International a révélé hier des informations selon lesquelles la banque centrale allemande en aurait réduit en octobre ses réserves pour la première fois depuis décembre 2010, vendant 150 000 onces le mois dernier, celles-ci en totalisant donc 109.194 millions.
Un porte-parole de cette dernière a décaré que celles-ci avaient été vendues au ministère des finances afins de frapper des pièces commémoratives.
Le rapport du FMI précisait également que les banques centrales avaient au contraire augmenté leurs stocks le mois dernier, la Russie poursuivant son programme de thésaurisation, y rajoutant 627 000 onces pour en rassembbler 28.005 millions.
Le Kazakhstan avait notamment connu une accumulation substantielle pour le second mois consécutif, avec 2.366 millions d'onces fin octobre contre 2.265 millions en septembre.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs arraché 0.3% pour grimper à 31.98 USD de l'once, mais celles sur le cuivre à échéance identique ont fondu de 1.25% pour se retrouver à 3.292 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 698.15 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.27%.
Ils avaient précédement culminé à 1 698.25 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.3% d'augmentation.
La remontée de l'or est survenue alors que l'étalon américain régressait, augmentant du même coup l'attrait des matières premières, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.25% de son côté pour se situer à 79.1.
Les observateurs continuaient à surveiller de près l'évolution de la crise de la dette souveraine de la zone euro, l'Allemagne n'ayant en effet réussi à écouler que 3.64 milliards d'euros en obligations à dix ans au lieu des 6 milliards d'euros envisagés, au cours de la vente aux enchères la moins réussie depuis l'introduction de la devise européenne.
L'agence de notation Fitch a quand à elle prévenu que la France pourrait perdre sa notation triple A si les dirigeants de l'Union Européenne ne faisaient rien pour éviter une aggravation de la situation.
En temps normal, ces nouvelles auraient entraîné une hausse du métal précieux en tant que valeur refuge, mais les acteurs des marchés ont préféré revendre l'or qui leur profite pour colmater les brèches subies ailleurs.
Le Fonds Monétaire International a révélé hier des informations selon lesquelles la banque centrale allemande en aurait réduit en octobre ses réserves pour la première fois depuis décembre 2010, vendant 150 000 onces le mois dernier, celles-ci en totalisant donc 109.194 millions.
Un porte-parole de cette dernière a décaré que celles-ci avaient été vendues au ministère des finances afins de frapper des pièces commémoratives.
Le rapport du FMI précisait également que les banques centrales avaient au contraire augmenté leurs stocks le mois dernier, la Russie poursuivant son programme de thésaurisation, y rajoutant 627 000 onces pour en rassembbler 28.005 millions.
Le Kazakhstan avait notamment connu une accumulation substantielle pour le second mois consécutif, avec 2.366 millions d'onces fin octobre contre 2.265 millions en septembre.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs arraché 0.3% pour grimper à 31.98 USD de l'once, mais celles sur le cuivre à échéance identique ont fondu de 1.25% pour se retrouver à 3.292 USD la livre dans le même temps.