Investing.com - Les options sur l'or se maintenaient aux abords de leur pic hebdomadaire établi hier ce mardi matin, les opérateurs guettant l'évolution de la crise de la dette de la zone euro tout en surveillant la menace du mur fiscal américain.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 733.75 USD de l'once en début de séance européenne, n'évoluant ainsi presque pas.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette située entre 1 729.35 USD, leur pire cours journalier, et 1 735.15 USD, leur meilleur, après avoir culminé hier à 1 735.55 USD, leur sommet des sept derniers jours.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 704.55 USD, leur plancher du 15 novembre, et rencontrer de la résistance à 1 737.95 USD, leur plafond du 12 novembre.
En zone euro, l'agence de notation Moody's a rabaissé son appréciation de la France d'un cran depuis Aaa vers Aa1, invoquant une dégradation des perspectives de croissance de la seconde économie régionale.
Mais cette annonce survenait après la manoeuvre similaire opérée il y a plusieurs mois par sa collègue Standard & Poor's, le troisième larron Fitch étant le dernier à toujours lui accorder un triple A.
Les ministres des finances de l'Eurogroupe comptaient quand à eux se rencontrer aujourd'hui afin d'évoquer l'éventuelle attribution de la prochaine tranche d'aides à la Grèce.
L'attention demeure aussi focalisée sur la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Le moral était toutefois revenu hier après que les dirigeants des groupes parlementaires américains aient déclaré que leur rencontre de vendredi avec le président Barack Obama destinée à éviter une crise de la fiscalité avait été "constructive".
Certains craignent que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis avant la date fatidique.
Les violences entre Israël et la Palestine se poursuivaient quand à elles pour la sixième journée d'affilée, avec un renforcement des attaques dans la région de la bande de Gaza.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs grignoté 0.1% pour grimper à 33.19 USD de l'once, mais celles sur le cuivre à échéance identique laissaient échapper 0.2% pour se retrouver à 3.52 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 733.75 USD de l'once en début de séance européenne, n'évoluant ainsi presque pas.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette située entre 1 729.35 USD, leur pire cours journalier, et 1 735.15 USD, leur meilleur, après avoir culminé hier à 1 735.55 USD, leur sommet des sept derniers jours.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 704.55 USD, leur plancher du 15 novembre, et rencontrer de la résistance à 1 737.95 USD, leur plafond du 12 novembre.
En zone euro, l'agence de notation Moody's a rabaissé son appréciation de la France d'un cran depuis Aaa vers Aa1, invoquant une dégradation des perspectives de croissance de la seconde économie régionale.
Mais cette annonce survenait après la manoeuvre similaire opérée il y a plusieurs mois par sa collègue Standard & Poor's, le troisième larron Fitch étant le dernier à toujours lui accorder un triple A.
Les ministres des finances de l'Eurogroupe comptaient quand à eux se rencontrer aujourd'hui afin d'évoquer l'éventuelle attribution de la prochaine tranche d'aides à la Grèce.
L'attention demeure aussi focalisée sur la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Le moral était toutefois revenu hier après que les dirigeants des groupes parlementaires américains aient déclaré que leur rencontre de vendredi avec le président Barack Obama destinée à éviter une crise de la fiscalité avait été "constructive".
Certains craignent que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis avant la date fatidique.
Les violences entre Israël et la Palestine se poursuivaient quand à elles pour la sixième journée d'affilée, avec un renforcement des attaques dans la région de la bande de Gaza.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs grignoté 0.1% pour grimper à 33.19 USD de l'once, mais celles sur le cuivre à échéance identique laissaient échapper 0.2% pour se retrouver à 3.52 USD la livre dans le même temps.