Investing.com - L'euro n'a guère laissé le dollar U.S. prendre le dessus ce mardi matin, après que de bons résultats aient laissé entendre que l'activité industrielle des Etats-Unis et de l'Europe s'améliorait, reléguant au second plan le spectre d'une fermeture des vannes de l'émettrice de ce dernier.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3071 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3060, trébuchant de 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3004, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,3101, son plafond de vendredi.
L'institut de gestion des approvisionnements a en effet révélé hier soir que son indice des directeurs des achats du domaine manufacturier des Etats-Unis s'était remis d'un passage à vide inopiné en remontant à 50,9 pour juin.
il était cependant à noter que sa variable portant sur l'emploi se rétractait dans le même temps pour la preière fois depuis septembre 2009.
Les yeux se tournaient désormais vers les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Il avait aussi été noté lors de la dernière séance que la dégringolade du secteur secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique était en train de s'apaiser, mais que la Banque Centrale Européenne avait toutes les chances de rappeler lors de sa prise de cap d'après-demain que la fin des politiques assouplies était loin d'être en vue.
L'unité monétaire de l'Europe a par ailleurs limité les dégâts contre la livre sterling, l'EUR/GBP ne laissant échapper que 0,01% pour glisser à 0,8583, et a pris l'avantage sur le yen, l'EUR/JPY gagnant 0,15% pour se hisser à 130,35.
L'Espagne est sur le point de publier ses informations concernant le nombre de ses demandeurs d'emploi, après quoi les Etats-Unis concluront la journée avec le volume des commandes passées auprès de leurs usines.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3071 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3060, trébuchant de 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3004, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,3101, son plafond de vendredi.
L'institut de gestion des approvisionnements a en effet révélé hier soir que son indice des directeurs des achats du domaine manufacturier des Etats-Unis s'était remis d'un passage à vide inopiné en remontant à 50,9 pour juin.
il était cependant à noter que sa variable portant sur l'emploi se rétractait dans le même temps pour la preière fois depuis septembre 2009.
Les yeux se tournaient désormais vers les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Il avait aussi été noté lors de la dernière séance que la dégringolade du secteur secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique était en train de s'apaiser, mais que la Banque Centrale Européenne avait toutes les chances de rappeler lors de sa prise de cap d'après-demain que la fin des politiques assouplies était loin d'être en vue.
L'unité monétaire de l'Europe a par ailleurs limité les dégâts contre la livre sterling, l'EUR/GBP ne laissant échapper que 0,01% pour glisser à 0,8583, et a pris l'avantage sur le yen, l'EUR/JPY gagnant 0,15% pour se hisser à 130,35.
L'Espagne est sur le point de publier ses informations concernant le nombre de ses demandeurs d'emploi, après quoi les Etats-Unis concluront la journée avec le volume des commandes passées auprès de leurs usines.