Investing.com - Les options sur le brut ont avancé à pas feutrés vendredi, s'extrayant de leurs creux après qu'il ait été révélé dans un rapport des autorités des Etats-Unis que les réserves avaient diminué la semaine passée de manière nettement supérieure aux prévisions.
Les chiffres peu réjouissants de l'emploi hors agriculture national laissaient aussi supposer que la Réserve Fédérale devrait continuer à apporter des capitaux à moyen terme, amplifiant cette tendance.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 93.08 USD le baril à la clôture des transactions, arrachant 0.2%.
Ils avaient culminé mercredi à 93.82 USD, leur niveau le plus élevé depuis le 19 septembre, avec l'adoption du texte permettan de contourner l'obstacle du mur fiscal américain.
Ils auront du coup engrangé 2.55% pour leur quatrième avancée hebdomadaire d'affilée, la plus importante en près de trois mois.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis leur a en effet redonné du tonis en faisant savoir que les stocks pétroliers nationaux avaient plongé de 1.1 millions de barils la semaine dernière, au lieu des 900 000 attendus.
Il était toutefois à noter que ceux d'essence en avaient accumulé 2.57 millions, au lieu des 1.95 pressentis.
Leur publication avait deux jours de retard en raison des congés du nouvel an.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait auparavant constaté 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu moins que les 161 000 après révision à la hausse précédents.
Le taux de chômage stagnait quand à lui à 7.8%, faisant redouter un ralentissement de la reprise du marché de l'emploi.
Il laissait aussi augurer du maintien du statu quo de la Fed, dont le compte-rendu du conseil d'orientation du mois dernier avait montré que ses dirigeants resteraient accommodants tant que le chômage serait élevé.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a ainsi glissé depuis 80.99, son pic journalier, pour finir la semaine à 80.61.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Ils avaient subi un passage à vide de plus de 1% dans la matinée dans la foulée de la publication du procès-verbal de la dernière réunion d'orientation de la banque centrale américaine, dans lequel ses dirigeants estimaient possible de ralentir, voire mettre un terme à ses acquisitions d'actifs nettement avant décembre 2013.
Ce programme d'assouplissement quantitatif est considéré par de nombreux observateurs comme une source majeure de liquidités, affaiblissant le billet vert et renforçant au contraire les matières premières, et notamment l'or noir.
La semaine prochaine verra les tractations sur la politique fiscale outre-Atlantique faire des gorges chaudes, en vue du rehaussement du plafond d'endettement de Washington.
Le parlement avait eu beau y ratifier une loi ménageant la chèvre et le chou pour échapper au mur fiscal, la nervosité demeurait exacerbée à l'horizon de février, anticipant les tractations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont dérapé de 0.65% vendredi pour glisser à 111.42 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont toutefois terminé la semaine avec une poussée de 0.85%, pour s'établir à 18.34 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les chiffres peu réjouissants de l'emploi hors agriculture national laissaient aussi supposer que la Réserve Fédérale devrait continuer à apporter des capitaux à moyen terme, amplifiant cette tendance.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 93.08 USD le baril à la clôture des transactions, arrachant 0.2%.
Ils avaient culminé mercredi à 93.82 USD, leur niveau le plus élevé depuis le 19 septembre, avec l'adoption du texte permettan de contourner l'obstacle du mur fiscal américain.
Ils auront du coup engrangé 2.55% pour leur quatrième avancée hebdomadaire d'affilée, la plus importante en près de trois mois.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis leur a en effet redonné du tonis en faisant savoir que les stocks pétroliers nationaux avaient plongé de 1.1 millions de barils la semaine dernière, au lieu des 900 000 attendus.
Il était toutefois à noter que ceux d'essence en avaient accumulé 2.57 millions, au lieu des 1.95 pressentis.
Leur publication avait deux jours de retard en raison des congés du nouvel an.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait auparavant constaté 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu moins que les 161 000 après révision à la hausse précédents.
Le taux de chômage stagnait quand à lui à 7.8%, faisant redouter un ralentissement de la reprise du marché de l'emploi.
Il laissait aussi augurer du maintien du statu quo de la Fed, dont le compte-rendu du conseil d'orientation du mois dernier avait montré que ses dirigeants resteraient accommodants tant que le chômage serait élevé.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a ainsi glissé depuis 80.99, son pic journalier, pour finir la semaine à 80.61.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Ils avaient subi un passage à vide de plus de 1% dans la matinée dans la foulée de la publication du procès-verbal de la dernière réunion d'orientation de la banque centrale américaine, dans lequel ses dirigeants estimaient possible de ralentir, voire mettre un terme à ses acquisitions d'actifs nettement avant décembre 2013.
Ce programme d'assouplissement quantitatif est considéré par de nombreux observateurs comme une source majeure de liquidités, affaiblissant le billet vert et renforçant au contraire les matières premières, et notamment l'or noir.
La semaine prochaine verra les tractations sur la politique fiscale outre-Atlantique faire des gorges chaudes, en vue du rehaussement du plafond d'endettement de Washington.
Le parlement avait eu beau y ratifier une loi ménageant la chèvre et le chou pour échapper au mur fiscal, la nervosité demeurait exacerbée à l'horizon de février, anticipant les tractations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont dérapé de 0.65% vendredi pour glisser à 111.42 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont toutefois terminé la semaine avec une poussée de 0.85%, pour s'établir à 18.34 USD de mieux que leurs homologues américaines.