Investing.com - La livre sterling a progressé avec difficulté face au dollar U.S. ce lundi, se trouvant freinée par les craintes liées aux problèmes grecs, qui encouragent la demande pour les valeurs sûres.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5691 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5683, grignotant 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5644, son plancher du 14 février, et de rencontrer de la résistance à 1.5746, son plafond du 23 février.
L'Association Internationale des Swaps et Dérivés ISDA a finalement affirmé vendredi que la substitution des bons du trésor grecs des créanciers privés constituait un "évènement de crédit" qui activerait les couvertures de défaillance destinées à protéger les investisseurs contre des pertes dûes aux obligations hellènes.
Le billet vert bénéficiait quand à lui des chiffres encourageants de l'emploi américain, réduisant l'espérance d'une nouvelle série d'achats d'actifs destinés à relancer la croissance économique de la part de la Fed.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait en effet annoncé vendredi que le pays avait créé 227 000 emplois en février, dépassant les 210 000 espérés, le taux de chômage demeurant stabilisé à 8.3%, son plus bas niveau en trois ans.
La devise de la Grande-Bretagne a également gagné quelques pouce de terrain face à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.1% pour glisser à 0.8363.
Les ministres des finances du bloc euro tiendront aujourd'hui des pourparlers à Bruxelles afin de donner leur accord final aux 130 milliards d'euros du plan de secours à la Grèce.
L'Espagne risque aussi d'être à l'ordre du jour, Mariano Rajoy, son premiere ministre, ayant annoncé en début de mois que les déficits publics ne seraient ramenés cette année qu'à 5.8% du produit intérieur brut, au lieu des 4.4% prévus.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5691 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5683, grignotant 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5644, son plancher du 14 février, et de rencontrer de la résistance à 1.5746, son plafond du 23 février.
L'Association Internationale des Swaps et Dérivés ISDA a finalement affirmé vendredi que la substitution des bons du trésor grecs des créanciers privés constituait un "évènement de crédit" qui activerait les couvertures de défaillance destinées à protéger les investisseurs contre des pertes dûes aux obligations hellènes.
Le billet vert bénéficiait quand à lui des chiffres encourageants de l'emploi américain, réduisant l'espérance d'une nouvelle série d'achats d'actifs destinés à relancer la croissance économique de la part de la Fed.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait en effet annoncé vendredi que le pays avait créé 227 000 emplois en février, dépassant les 210 000 espérés, le taux de chômage demeurant stabilisé à 8.3%, son plus bas niveau en trois ans.
La devise de la Grande-Bretagne a également gagné quelques pouce de terrain face à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.1% pour glisser à 0.8363.
Les ministres des finances du bloc euro tiendront aujourd'hui des pourparlers à Bruxelles afin de donner leur accord final aux 130 milliards d'euros du plan de secours à la Grèce.
L'Espagne risque aussi d'être à l'ordre du jour, Mariano Rajoy, son premiere ministre, ayant annoncé en début de mois que les déficits publics ne seraient ramenés cette année qu'à 5.8% du produit intérieur brut, au lieu des 4.4% prévus.