Au terme du premier fixing de ce dernier jour de la semaine sur le marché Londres, l'once de 31,1 grammes d'or cotait 1.162,4 dollars (- 0,15 dollar par rapport au fixing fixing d'hier après-midi) et 1.041,2 euros (- 11 euros).
A en croire les propos que l'agence Bloomberg prête au président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, une décision sur la Grèce serait prise 'probablement ce jour'. Les créanciers de la Grèce ont reçu hier les nouvelles propositions écrites d'Athènes. Ce document constitue un pré-requis indispensable avant d'envisager un accord et une nouvelle tranche d'aide de l'ordre de 50 milliards d'euros étalée sur trois ans - au plus tard dimanche, selon le calendrier actuel.
Ces propositions semblent plus acceptables par les créanciers que les précédentes. 'Les mesures présentées et les objectifs budgétaires sont calés sur les requêtes qui étaient faites par la troïka le 26 juin', relève Philippe Waechter, économiste de Natixis.
Encore faudra-t-il qu'elles soient validées par le parlement grec. 'Des membres de Syriza ont déjà fait part de leur désaccord', rappelle ainsi M. Waechter, qui reste cependant optimiste, à l'image des marchés dans leur ensemble, ce dont témoigne la vive hausse des indices d'actions ce midi : l'engagement (des dernières propositions du gouvernement Tsipras) est pro-euro et pourrait rallier des parlementaires ayant voté 'oui' dimanche dernier. En outre, l'accord de lundi, signé par l'ensemble des grands partis grecs, donne pouvoir à Tsipras de négocier pour la Grèce. Cette légitimité doit lui permettre de disposer d'une majorité nouvelle, estime l'économiste.
De ce fait, la probabilité d'un Grexit, soit la sortie de la Grèce de la zone euro, semble avoir diminué, juge Commerzbank (XETRA:CBKG).
Par ailleurs, l'encours du premier ETF aurifère au monde, le SPDR Gold Shares, a baissé hier soir de 1,8 tonne à 707,6 tonnes. La masse d'or adossé à ce produit de Bourse fait partie des outils permettant de jauger de l'appétit des investisseurs haussiers pour le métal jaune.
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A en croire les propos que l'agence Bloomberg prête au président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, une décision sur la Grèce serait prise 'probablement ce jour'. Les créanciers de la Grèce ont reçu hier les nouvelles propositions écrites d'Athènes. Ce document constitue un pré-requis indispensable avant d'envisager un accord et une nouvelle tranche d'aide de l'ordre de 50 milliards d'euros étalée sur trois ans - au plus tard dimanche, selon le calendrier actuel.
Ces propositions semblent plus acceptables par les créanciers que les précédentes. 'Les mesures présentées et les objectifs budgétaires sont calés sur les requêtes qui étaient faites par la troïka le 26 juin', relève Philippe Waechter, économiste de Natixis.
Encore faudra-t-il qu'elles soient validées par le parlement grec. 'Des membres de Syriza ont déjà fait part de leur désaccord', rappelle ainsi M. Waechter, qui reste cependant optimiste, à l'image des marchés dans leur ensemble, ce dont témoigne la vive hausse des indices d'actions ce midi : l'engagement (des dernières propositions du gouvernement Tsipras) est pro-euro et pourrait rallier des parlementaires ayant voté 'oui' dimanche dernier. En outre, l'accord de lundi, signé par l'ensemble des grands partis grecs, donne pouvoir à Tsipras de négocier pour la Grèce. Cette légitimité doit lui permettre de disposer d'une majorité nouvelle, estime l'économiste.
De ce fait, la probabilité d'un Grexit, soit la sortie de la Grèce de la zone euro, semble avoir diminué, juge Commerzbank (XETRA:CBKG).
Par ailleurs, l'encours du premier ETF aurifère au monde, le SPDR Gold Shares, a baissé hier soir de 1,8 tonne à 707,6 tonnes. La masse d'or adossé à ce produit de Bourse fait partie des outils permettant de jauger de l'appétit des investisseurs haussiers pour le métal jaune.
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