Investing.com - Le dollar U.S. a repris la main face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, notamment ses homologues nippon et européen, après diffusion de belles performances des ventes là où il a cours.
En seconde partie de séance européenne, il faisait mieux que résister au yen, l'USD/JPY frémissant de 0,18% pour revenir à 101,79, après avoir caracolé à 102,16 à l'aube.
Le département d'état au commerce en effet révélé que les ventes au détail américaines avaient augmenté de 0.1% après ajustement pour le mois dernier, au lieu de subir une régression de 0,3% comme il avait été redouté, tandis que celle enregistrée pour mars se voyait aggravée suite à sa révision, depuis 0,4 vers 0,5%.
Celles de produits de base, excluant les automobiles, se rétractaient sans surprise de 0,1% dans le même temps.
L'étalon américain avait retrouvé du mordant par rapport à son équivalent d'outre-Pacifique après que les ministres des finances du groupe des 7 pays les plus développés se soient retenus lors de leur sommet de fin de semaine de critiquer la politique monétaire du Japon, ayant fortement nui à sa monnaie.
L'euro a moins nettement fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,04% pour tomber à 1,2983, se rapprochant d'une ornière mensuelle.
La monnaie unique restait fragilisée après qu'un membre du conseil de direction de la Banque Centrale Européenne ait évoqué l'éventualité qu'elle impose une valeur négative à son taux pour les facilités de dépôt, qui est celui qu'elle paie pour les dépôts à vue effectués par les banques de la région.
Le billet vert a également gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,02% pour chuter à 1,5460.
Le franc suisse a par contre fait mieux que lui résister, l'USD/CHF se rétractant de 0,21% pour reprendre pied à 0,9551.
Des informations émanant des autorités helvètes avaient précédemment déploré un déclin de 0,9% des ventes auprès des particuliers en mars, alors qu'une avancée de 0,8% était espérée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,30% pour se retrouver à 0,9989, le NZD/USD se laissant arracher 0,22% pour toucher le fond à 0,8283 et l'USD/CAD commettant un faux pas de 0,19% pour descendre à 1,0086.
La première avait sombré sous la parité pour s'échanger à sa pire valeur en 11 mois après qu'une étude officielle ait souligné à l'aube que la production industrielle de la Chine avait augmenté de 9,3% en avril, au lieu des 9,5% envisagés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,05% pour se situer à 83,22.
En seconde partie de séance européenne, il faisait mieux que résister au yen, l'USD/JPY frémissant de 0,18% pour revenir à 101,79, après avoir caracolé à 102,16 à l'aube.
Le département d'état au commerce en effet révélé que les ventes au détail américaines avaient augmenté de 0.1% après ajustement pour le mois dernier, au lieu de subir une régression de 0,3% comme il avait été redouté, tandis que celle enregistrée pour mars se voyait aggravée suite à sa révision, depuis 0,4 vers 0,5%.
Celles de produits de base, excluant les automobiles, se rétractaient sans surprise de 0,1% dans le même temps.
L'étalon américain avait retrouvé du mordant par rapport à son équivalent d'outre-Pacifique après que les ministres des finances du groupe des 7 pays les plus développés se soient retenus lors de leur sommet de fin de semaine de critiquer la politique monétaire du Japon, ayant fortement nui à sa monnaie.
L'euro a moins nettement fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,04% pour tomber à 1,2983, se rapprochant d'une ornière mensuelle.
La monnaie unique restait fragilisée après qu'un membre du conseil de direction de la Banque Centrale Européenne ait évoqué l'éventualité qu'elle impose une valeur négative à son taux pour les facilités de dépôt, qui est celui qu'elle paie pour les dépôts à vue effectués par les banques de la région.
Le billet vert a également gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,02% pour chuter à 1,5460.
Le franc suisse a par contre fait mieux que lui résister, l'USD/CHF se rétractant de 0,21% pour reprendre pied à 0,9551.
Des informations émanant des autorités helvètes avaient précédemment déploré un déclin de 0,9% des ventes auprès des particuliers en mars, alors qu'une avancée de 0,8% était espérée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,30% pour se retrouver à 0,9989, le NZD/USD se laissant arracher 0,22% pour toucher le fond à 0,8283 et l'USD/CAD commettant un faux pas de 0,19% pour descendre à 1,0086.
La première avait sombré sous la parité pour s'échanger à sa pire valeur en 11 mois après qu'une étude officielle ait souligné à l'aube que la production industrielle de la Chine avait augmenté de 9,3% en avril, au lieu des 9,5% envisagés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,05% pour se situer à 83,22.