Investing.com - L'euro est tombé dans une ornière annuelle face au dollar U.S. ce jeudi, les investisseurs demeurant prudents à l'approche des ventes de dettes italiennes devant avoir lieu dans la journée, et ce malgré le succès de celles effectuées hier.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2888 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 10 janvier, puis s'est stabilisée vers 1.2937, trébuchant de 0.03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2888, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.3049, son plafond du 15 décembre.
De nombreux acteurs des marchés étaient déjà partis en vacances de fin d'année, réduisant les liquidités disponibles et augmentant la volatilité.
L'Italie devrait émettre aujourd'hui pour 8.5 milliards d'euros d'obigations dont les échéances s'étaleront entre 2014 et 2022.
L'Italie a écoulé hier pour 9 milliards d'euros de bons du trésor à six mois, à un taux moyen de 3.25%, après avoir tabli un record à 6.5% lors d'un évènement similaire s'étant déroulé en novembre.
Le taux des emprunts décennaux du pays est du coup retombé à 6.82%, retombant juste sous le seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
Cette performance positive n'a toutefois pas fait oublier les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro, qui persistaient après qu'il ait été signalé en début de semaine que les banques avaient retiré un record de 452 milliards d'euros auprès du mécanisme de prêt rapide de la Banque Centrale Européenne, signe que les prêteurs régionaux étaient peu enclins à se fournir mutuellement des capitaux.
La monnaie unique a également cédé quelqques pouces de terrain à la livre sterling avec un couple EUR/GBP glissant de 0.11% pour tomber à 0.8362.
La BCE devrait dévoiler dans la matinée une étude sur les réserves monétaires M3, ainsi que sur les prêts privés.
Les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres des ventes de logements en cours émanant des spécialiste de l'immobilier, sans oublier le baromètre de l'activité commerciale dans la région de Chicago.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2888 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le 10 janvier, puis s'est stabilisée vers 1.2937, trébuchant de 0.03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2888, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.3049, son plafond du 15 décembre.
De nombreux acteurs des marchés étaient déjà partis en vacances de fin d'année, réduisant les liquidités disponibles et augmentant la volatilité.
L'Italie devrait émettre aujourd'hui pour 8.5 milliards d'euros d'obigations dont les échéances s'étaleront entre 2014 et 2022.
L'Italie a écoulé hier pour 9 milliards d'euros de bons du trésor à six mois, à un taux moyen de 3.25%, après avoir tabli un record à 6.5% lors d'un évènement similaire s'étant déroulé en novembre.
Le taux des emprunts décennaux du pays est du coup retombé à 6.82%, retombant juste sous le seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
Cette performance positive n'a toutefois pas fait oublier les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro, qui persistaient après qu'il ait été signalé en début de semaine que les banques avaient retiré un record de 452 milliards d'euros auprès du mécanisme de prêt rapide de la Banque Centrale Européenne, signe que les prêteurs régionaux étaient peu enclins à se fournir mutuellement des capitaux.
La monnaie unique a également cédé quelqques pouces de terrain à la livre sterling avec un couple EUR/GBP glissant de 0.11% pour tomber à 0.8362.
La BCE devrait dévoiler dans la matinée une étude sur les réserves monétaires M3, ainsi que sur les prêts privés.
Les Etats-Unis rendront leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres des ventes de logements en cours émanant des spécialiste de l'immobilier, sans oublier le baromètre de l'activité commerciale dans la région de Chicago.