Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, le moral des investisseurs s'étant trouvé ragaillardi par l'idée d'une possible augmentatin des achats d'obligations européennes par la Chine.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.61% pour grimper à 1.4174.
La monnaie unique a en effet retrouvé des couleurs après que Klaus Regling, directeur général du Mécanisme Européen de Stabilisation Financière avait affirmé que la Chine serait "clairement intéressée" par l'achat d'obligations de secours pour le Portugal lorsque le MESF les mettrait en vente en juin.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.07% pour se hisser à 1.6287.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.09% pour se retrouver à 81.89 et l'USD/CHF glissant de 0.22% pour tomber à 0.8705.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.02% pour aller vers 0.977, l'AUD/USD raflant 0.54% pour monter à 1.059 et le NZD/USD engrangeant 1.17% pour culminer à 0.808.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré une hausse des dépenses de capitaux supérieure aux attentes pour l'Australie lors du trimestre achevé en mars.
Les médias de Nouvelle-Zélande ont par ailleurs révélé que la China Investment Corporation pourrait avoir mis en réserve jusqu'à 1.5%, soit 6 milliards de NZD, de ses capitaux destinés au marché des changes afin d'investir dans des actifs néo-zélandais, tandis que le ministre des finances faisait savoir que son pays espérait voir doubler ses exportations vers la Chine dans les quatre prochaines années.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.41%.
Les autorités des Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler en cours de journée leurs chiffres révisés de la croissance économique au premier trimestre ainsi que leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.61% pour grimper à 1.4174.
La monnaie unique a en effet retrouvé des couleurs après que Klaus Regling, directeur général du Mécanisme Européen de Stabilisation Financière avait affirmé que la Chine serait "clairement intéressée" par l'achat d'obligations de secours pour le Portugal lorsque le MESF les mettrait en vente en juin.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.07% pour se hisser à 1.6287.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.09% pour se retrouver à 81.89 et l'USD/CHF glissant de 0.22% pour tomber à 0.8705.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.02% pour aller vers 0.977, l'AUD/USD raflant 0.54% pour monter à 1.059 et le NZD/USD engrangeant 1.17% pour culminer à 0.808.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré une hausse des dépenses de capitaux supérieure aux attentes pour l'Australie lors du trimestre achevé en mars.
Les médias de Nouvelle-Zélande ont par ailleurs révélé que la China Investment Corporation pourrait avoir mis en réserve jusqu'à 1.5%, soit 6 milliards de NZD, de ses capitaux destinés au marché des changes afin d'investir dans des actifs néo-zélandais, tandis que le ministre des finances faisait savoir que son pays espérait voir doubler ses exportations vers la Chine dans les quatre prochaines années.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.41%.
Les autorités des Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler en cours de journée leurs chiffres révisés de la croissance économique au premier trimestre ainsi que leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.