Investing.com - Les options sur l'or n'ont guère varié vendredi, l'optimisme créé par la bonne surprise de l'emploi américain diminuant alors que les observateurs tournaient de nouveau leurs yeux vers la crise de la dette souveraine de la zone euro à l'orée du sommet économique de l'Union Européenne de la semaine prochaine.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 750.35 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, s'envolant de 3.57% en cours de semaine, leur plus forte avancée depuis fin octobre.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 700.5 USD, leur creux du 28 novembre, et de rencontrer de la résistance à 1 766.95 USD, leur plafond datant du 17.
Ils avaient d'abord rebondi en même temps que les autres investissements liés au risque, s'élevant vers un pic à 1 767.05 USD après qu'une étude officielle ait montré que le chômage américain avait reculé vers 8.6% en novembre, son plus bas niveau en deux ans et demi, l'économie nationale ant créé 120 000 nouveaux emplois.
Leur progression s'est toutefois retrouvée rabotée par le scepticisme persistant quand à la capacité du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de réserve de secours à la région, d'endiguer la crise de la dette souveraine de la zone euro, et les rumeurs de dégradation possible de la notation espagnole l'ont toutefois tirée vers le bas.
Les acteurs des marchés avaient généralement acheté de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance d'Europe au cours de la majeure partie de l'année passée, celles-ci diminuant son attrait en tant que valeur refuge, mais cette relation s'est récemment révélée moins certaine.
Le métal précieux s'est récemment mis à suivre les valeurs les plus audacieuses, comme les actions et les autres matières premières, perdant une partie de son attrait en tant que valeur refuge, tandis que les capitaux se réfugiaient dans le giron fluctuant du dollar U.S.
Les prix ont cependant été soutenus par les nouvelles preuves de demande de la part des banques centrales, celle de Corée du Sud déclarant vendredi qu'elle avait acheté 15 tonnes du métal précieux en novembre, amenant ses réserves à un total de 54.4 tonnes, représentant 0.7% de ses réserves de devises.
La banque allemande Commerzbank a déclaré dans un article: "Même après cette acquisition, l'or représente moins de 1% des réserves monétaires nationales, ce qui laisse donc ouverte la possibilité à de nouvelles actions similaires."
Elle a rajouté: "L'intérêt constant que montrent les banques centrales pour des achats d'or continuent à en tirer les cours vers le haut."
Ils avaient engrangé près de 2% mercredi après que six banques centrales majeures, notamment la Réserve Fédérale et la Banque Centrale Européenne, aient annoncé une action conjointe destinée à augmenter leur capacité à alimenter le système financier mondial en capitaux.
Cette nouvelle surprenante survenait après que la Chine ait fait savoir qu'elle comptait revoir à la baisse les quotas prudentiels imposés à ses établissements bancaires, afin d'augmenter la quantité de liquidités en circulation et soutenir la seconde économie mondiale en des temps troublés.
L'or peut facilement bénéficier d'un environnement où les liquidités abondent, car leur simple accessibilité jugule la valeur des monnaies de papier.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs raflé 3.83% pour grimper à 32.61 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 7.4% pour se retrouver à 3.586 USD la livre dans le même temps.
HSBC Holdings, pourvoyeur international de services financiers, a relevé vendredi sa moyenne prévue pour les cours de l'argent à 34 USD pour 2012, contre 32 auparavant, s'attendant à une augmentation des besoins des investiseurs.
Les investisseurs garderont la semaine prochaine les yeux tournés vers la réunion d'orientation de la politique monétaire de la Banque Centrale Européenne devant se tenir jeudi, sur fond de rumeurs de diminution de 0.5 points de pourcentage de ses taux, les dirigeants européens devant pour leur part tenir vendredi un sommet destiné à aborder la tourmente que traverse la région.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 750.35 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, s'envolant de 3.57% en cours de semaine, leur plus forte avancée depuis fin octobre.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 700.5 USD, leur creux du 28 novembre, et de rencontrer de la résistance à 1 766.95 USD, leur plafond datant du 17.
Ils avaient d'abord rebondi en même temps que les autres investissements liés au risque, s'élevant vers un pic à 1 767.05 USD après qu'une étude officielle ait montré que le chômage américain avait reculé vers 8.6% en novembre, son plus bas niveau en deux ans et demi, l'économie nationale ant créé 120 000 nouveaux emplois.
Leur progression s'est toutefois retrouvée rabotée par le scepticisme persistant quand à la capacité du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de réserve de secours à la région, d'endiguer la crise de la dette souveraine de la zone euro, et les rumeurs de dégradation possible de la notation espagnole l'ont toutefois tirée vers le bas.
Les acteurs des marchés avaient généralement acheté de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance d'Europe au cours de la majeure partie de l'année passée, celles-ci diminuant son attrait en tant que valeur refuge, mais cette relation s'est récemment révélée moins certaine.
Le métal précieux s'est récemment mis à suivre les valeurs les plus audacieuses, comme les actions et les autres matières premières, perdant une partie de son attrait en tant que valeur refuge, tandis que les capitaux se réfugiaient dans le giron fluctuant du dollar U.S.
Les prix ont cependant été soutenus par les nouvelles preuves de demande de la part des banques centrales, celle de Corée du Sud déclarant vendredi qu'elle avait acheté 15 tonnes du métal précieux en novembre, amenant ses réserves à un total de 54.4 tonnes, représentant 0.7% de ses réserves de devises.
La banque allemande Commerzbank a déclaré dans un article: "Même après cette acquisition, l'or représente moins de 1% des réserves monétaires nationales, ce qui laisse donc ouverte la possibilité à de nouvelles actions similaires."
Elle a rajouté: "L'intérêt constant que montrent les banques centrales pour des achats d'or continuent à en tirer les cours vers le haut."
Ils avaient engrangé près de 2% mercredi après que six banques centrales majeures, notamment la Réserve Fédérale et la Banque Centrale Européenne, aient annoncé une action conjointe destinée à augmenter leur capacité à alimenter le système financier mondial en capitaux.
Cette nouvelle surprenante survenait après que la Chine ait fait savoir qu'elle comptait revoir à la baisse les quotas prudentiels imposés à ses établissements bancaires, afin d'augmenter la quantité de liquidités en circulation et soutenir la seconde économie mondiale en des temps troublés.
L'or peut facilement bénéficier d'un environnement où les liquidités abondent, car leur simple accessibilité jugule la valeur des monnaies de papier.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs raflé 3.83% pour grimper à 32.61 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 7.4% pour se retrouver à 3.586 USD la livre dans le même temps.
HSBC Holdings, pourvoyeur international de services financiers, a relevé vendredi sa moyenne prévue pour les cours de l'argent à 34 USD pour 2012, contre 32 auparavant, s'attendant à une augmentation des besoins des investiseurs.
Les investisseurs garderont la semaine prochaine les yeux tournés vers la réunion d'orientation de la politique monétaire de la Banque Centrale Européenne devant se tenir jeudi, sur fond de rumeurs de diminution de 0.5 points de pourcentage de ses taux, les dirigeants européens devant pour leur part tenir vendredi un sommet destiné à aborder la tourmente que traverse la région.