Investing.com - Le dollar U.S. a cédé du terrain au yen ce vendredi matin, dans le sillage d'un discours du chef de l'émettrice de son adversaire, dans l'ombre du statu quo adopté par la sienne.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 99,18 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 99,32, perdant 0,13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 97,99, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 99,97, son plafond du 13 septembre.
Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, a en effet de nouveau exhorté le gouvernement à retrouver le contrôle de son budget, rappelant que des finances saines étaient "indispensables" pour une croissance durable.
Il n'a d'autre part guère offert lors de cette conférence à Tokyo d'indices sur la volonté de mettre en place de nouvelles mesures destinées à amoindrir l'impact de la remontée de la taxe sur la valeur ajoutée sur la relance nationale.
Le billet vert demeurait cependant sur la sellette après que la banque centrale des Etats-Unis se soit retenue mercredi de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a refusé de s'engager à procéder à un tour de vis dès cette année, rappelant que les orientations "n'étaient pas prédéterminées".
Il a aussi déclaré à l'issue des deux jours de réunion qu'il souhaitait "attendre encore des preuves tangibles" d'une consolidation de l'économie sur le long terme.
La devise nippone a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/JPY trébuchant de 0,05% pour glisser à 134,49.
Le volume des transactions semblait devoir être minime aujourd'hui, en l'absence de résultats économiques majeurs.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 99,18 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 99,32, perdant 0,13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 97,99, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 99,97, son plafond du 13 septembre.
Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, a en effet de nouveau exhorté le gouvernement à retrouver le contrôle de son budget, rappelant que des finances saines étaient "indispensables" pour une croissance durable.
Il n'a d'autre part guère offert lors de cette conférence à Tokyo d'indices sur la volonté de mettre en place de nouvelles mesures destinées à amoindrir l'impact de la remontée de la taxe sur la valeur ajoutée sur la relance nationale.
Le billet vert demeurait cependant sur la sellette après que la banque centrale des Etats-Unis se soit retenue mercredi de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a refusé de s'engager à procéder à un tour de vis dès cette année, rappelant que les orientations "n'étaient pas prédéterminées".
Il a aussi déclaré à l'issue des deux jours de réunion qu'il souhaitait "attendre encore des preuves tangibles" d'une consolidation de l'économie sur le long terme.
La devise nippone a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/JPY trébuchant de 0,05% pour glisser à 134,49.
Le volume des transactions semblait devoir être minime aujourd'hui, en l'absence de résultats économiques majeurs.