Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture à la baisse ce jeudi après-midi, dans l'expectative des chiffres cruciaux du chômage des Etats-Unis, bien que les craintes au sujet de l'expansion économique planétaire se soient apaisées.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.04%, celles sur le S&P 500 déplorant un faux pas de 0.09% et celles sur le Nasdaq 100 subisant un passage à vide de 0.17%.
L'optimisme est en effet revenu après que des chiffres officiels aient signalé à l'aube que l'économie de la Chine avait comme prévu progressé de 7.4% de début juillet à fin septembre.
Il avait déjà été souligné hier que le nombre des lancements de chantiers aux Etats-Unis avait bondi de 15% le mois passé, connaissant ainsi sa plus forte augmentation depuis juillet 2008, confortant l'hypothèse d'une accélération de la relance américaine.
Tous les yeux étant désormais braqués vers le sommet de l'UE débutant aujourd'hui, bien qu'aucune annonce marquante de la part de l'Espagne ou de la Grèce ne soit au programme.
Verizon Communications était au centre des débats après avoir dévoilé ses résultats avant les premeirs échanges, avec des bénéfices supérieurs aux attentes, estimant aussi être en bonne voie pour remplir ses objectifs annuels.
La finance n'était pas en reste, Morgan Stanley ayant revenndiqué des rentrées supérieures aux estimations pour le troisième trimestre, ses recettes provenant d'actifs à dividendes fixes ayant augmenté par rapport à l'année passée, raflant du même coup 1.51% en pré-ouverture.
Du côté minier, Gold Resource dégringolait de 13% dans le même temps après avoir rabaissé ses prévisions d'extraction pour l'année dans une fourchette située entre 85 et 100 000 onces d'équivalent-or, permettant également de comptabiliser l'argent.
La compagnie avait pourtant espéré en juillet qu'elle s'établirait entre 100 et 120 000 onces.
Il ne fallait pas non plus négliger le fournisseur d'équipements médicaux Stryker, après qu'Oppenheimer & Co. en ait rabaissé l'appréciation des performances de bonnes à neutres.
L'entreprise avait déclaré hier s'attendre à des profits 2013 entre 4.25 et 4.4 milliards d'USD en excluant certaines postes ponctuels, soit 5 à 8% de mieux que cette année, au lieu des 10% minimum espérés auparavant.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Philip Morris, Microsoft, Google et Advanced Micro Devices, dont les résultats devraient être dévoilées après la fermeture.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt moroses, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.17%, le CAC 40 français de 0.23%, le DAX 30 allemand arrachant toutefois 0.36% alors que le FTSE 100 britannique reculait de 0.1%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 0.48%, et le Nikkei 225 japonais 2%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir en fin de journée leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que l'état de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.04%, celles sur le S&P 500 déplorant un faux pas de 0.09% et celles sur le Nasdaq 100 subisant un passage à vide de 0.17%.
L'optimisme est en effet revenu après que des chiffres officiels aient signalé à l'aube que l'économie de la Chine avait comme prévu progressé de 7.4% de début juillet à fin septembre.
Il avait déjà été souligné hier que le nombre des lancements de chantiers aux Etats-Unis avait bondi de 15% le mois passé, connaissant ainsi sa plus forte augmentation depuis juillet 2008, confortant l'hypothèse d'une accélération de la relance américaine.
Tous les yeux étant désormais braqués vers le sommet de l'UE débutant aujourd'hui, bien qu'aucune annonce marquante de la part de l'Espagne ou de la Grèce ne soit au programme.
Verizon Communications était au centre des débats après avoir dévoilé ses résultats avant les premeirs échanges, avec des bénéfices supérieurs aux attentes, estimant aussi être en bonne voie pour remplir ses objectifs annuels.
La finance n'était pas en reste, Morgan Stanley ayant revenndiqué des rentrées supérieures aux estimations pour le troisième trimestre, ses recettes provenant d'actifs à dividendes fixes ayant augmenté par rapport à l'année passée, raflant du même coup 1.51% en pré-ouverture.
Du côté minier, Gold Resource dégringolait de 13% dans le même temps après avoir rabaissé ses prévisions d'extraction pour l'année dans une fourchette située entre 85 et 100 000 onces d'équivalent-or, permettant également de comptabiliser l'argent.
La compagnie avait pourtant espéré en juillet qu'elle s'établirait entre 100 et 120 000 onces.
Il ne fallait pas non plus négliger le fournisseur d'équipements médicaux Stryker, après qu'Oppenheimer & Co. en ait rabaissé l'appréciation des performances de bonnes à neutres.
L'entreprise avait déclaré hier s'attendre à des profits 2013 entre 4.25 et 4.4 milliards d'USD en excluant certaines postes ponctuels, soit 5 à 8% de mieux que cette année, au lieu des 10% minimum espérés auparavant.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Philip Morris, Microsoft, Google et Advanced Micro Devices, dont les résultats devraient être dévoilées après la fermeture.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt moroses, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.17%, le CAC 40 français de 0.23%, le DAX 30 allemand arrachant toutefois 0.36% alors que le FTSE 100 britannique reculait de 0.1%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 0.48%, et le Nikkei 225 japonais 2%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir en fin de journée leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que l'état de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.