Investing.com - L'euro a pris le dessus face au dollar U.S. ce mardi matin, après que des hauts responsables de l'émettrice de ce dernier aient rappelé que la fin imminente de ses perfusions de capitaux n'était qu'une possibilité et non une certitude comme certains semblaient affirmer.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3137 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3134, grignotant 0,12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3058, son plancher de près de trois semaines établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3175, son plafond psychologique suivant.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Son homologue pour Dallas Richard Fisher a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Ben Bernanke, président de la Fed, avait attisé les rumeurs en affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La valeur sûre du billet vert avait retrouvé du mordant sur fond de spectre d'une éventuelle instabilité financière de la Chine qui assombrissait l'atmosphère, ses bourses ayant subi hier leur pire dé&convenue en près de quatre ans.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,01% pour reprendre pied à 0,8498, mais moins contre le yen, l'EUR/JPY laissant échapper 0,17% pour chuter à 128,00.
Les Etats-Unis comptent de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3137 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3134, grignotant 0,12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3058, son plancher de près de trois semaines établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3175, son plafond psychologique suivant.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Son homologue pour Dallas Richard Fisher a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Ben Bernanke, président de la Fed, avait attisé les rumeurs en affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La valeur sûre du billet vert avait retrouvé du mordant sur fond de spectre d'une éventuelle instabilité financière de la Chine qui assombrissait l'atmosphère, ses bourses ayant subi hier leur pire dé&convenue en près de quatre ans.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,01% pour reprendre pied à 0,8498, mais moins contre le yen, l'EUR/JPY laissant échapper 0,17% pour chuter à 128,00.
Les Etats-Unis comptent de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.