Investing.com - Les bourses européennes étaient en difficulté ce lundi matin, la confiance se trouvant de nouveau ébranlée par l'instabilité politique italienne, malgré la victoire en fin de semaine des conservateurs en Allemagne.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,31%, le CAC 40 français de 0,08%, et le DAX 30 allemand de 0,19%.
Le parti de la chancelière sortante Angela Merkel lui a en effet assuré un troisièe mandat consécutif historique à l'issue des élections législatives d'hier, les chefs des différentes factions devant se rencontrer aujourd'hui afin d'évoquer les coalitions possibles.
Mais la prudence s'est retrouvée exacerbée par les tensions agitant Rome après que le ministre de l'économie Fabrizio Saccomanni ait déclaré qu'il démissionnerait au cas où le fragile gouvernement d'union nationale préfèrerait opter pour des baisses des impôts au lieu de respecter les limites des déficits imposées par l'Union Européenne.
Le groupe de recherches économiques Markit a d'autre part fait savoir que son baromètre de l'activité industrielle germanique avait connu une érosion depuis les 51,8 définitifs d'août vers 51,3 après ajustement saisonnier.
Les experts pensaient pourtant le voir se hisser à 52,2 pour la période considérée.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,01%, suivie du français Société Générale avec 0,80%, dont le compatriote BNP Paribas empochait cependant 0,12%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant respectivement de 0,37 et 0,82%, l'italien Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,04%, tandis qu'Intesa Sanpaolo arrachait 0,06%.
Le prospecteur pétrolier en haute mer Fugro NV reculait de 0,45% après avoir nommé Paul Verhagen au poste de directeur financier et prévu 3,7 milliards de chiffre d'affaires pour 2016.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,31%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin majoritairement tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking reculait ainsi de 0,72%, Barclays de 1,32 et la Royal Bank of Scotland de 1,36%, tandis que HSBC Holdings émergeait par contre de 0,35%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Polymetal fondant de 1,32 et 3,64%, Randgold Resources n'étant pas à l'abri avec 2,16%.
L'opérateur de réseaux électriques national n'échappait pas à la tendance, dégringolant de 1,73% après que l'UBS en ait rétrogradé l'appréciation depuis le conseil d'achat vers la neutralité, estimant que sa valorisation tenait déjà compte de ses projections de croissance.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,19%.
La zone euro comptait de son côté divulguer sous peu les baromètres de l'activité de ses secteurs secondaire et tertiaire, après quoi Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne comparaîtra pour sa part devant le comité économique aux affaires monétaires du parlement européen à Bruxelles.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,31%, le CAC 40 français de 0,08%, et le DAX 30 allemand de 0,19%.
Le parti de la chancelière sortante Angela Merkel lui a en effet assuré un troisièe mandat consécutif historique à l'issue des élections législatives d'hier, les chefs des différentes factions devant se rencontrer aujourd'hui afin d'évoquer les coalitions possibles.
Mais la prudence s'est retrouvée exacerbée par les tensions agitant Rome après que le ministre de l'économie Fabrizio Saccomanni ait déclaré qu'il démissionnerait au cas où le fragile gouvernement d'union nationale préfèrerait opter pour des baisses des impôts au lieu de respecter les limites des déficits imposées par l'Union Européenne.
Le groupe de recherches économiques Markit a d'autre part fait savoir que son baromètre de l'activité industrielle germanique avait connu une érosion depuis les 51,8 définitifs d'août vers 51,3 après ajustement saisonnier.
Les experts pensaient pourtant le voir se hisser à 52,2 pour la période considérée.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,01%, suivie du français Société Générale avec 0,80%, dont le compatriote BNP Paribas empochait cependant 0,12%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant respectivement de 0,37 et 0,82%, l'italien Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,04%, tandis qu'Intesa Sanpaolo arrachait 0,06%.
Le prospecteur pétrolier en haute mer Fugro NV reculait de 0,45% après avoir nommé Paul Verhagen au poste de directeur financier et prévu 3,7 milliards de chiffre d'affaires pour 2016.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,31%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin majoritairement tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking reculait ainsi de 0,72%, Barclays de 1,32 et la Royal Bank of Scotland de 1,36%, tandis que HSBC Holdings émergeait par contre de 0,35%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Polymetal fondant de 1,32 et 3,64%, Randgold Resources n'étant pas à l'abri avec 2,16%.
L'opérateur de réseaux électriques national n'échappait pas à la tendance, dégringolant de 1,73% après que l'UBS en ait rétrogradé l'appréciation depuis le conseil d'achat vers la neutralité, estimant que sa valorisation tenait déjà compte de ses projections de croissance.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,19%.
La zone euro comptait de son côté divulguer sous peu les baromètres de l'activité de ses secteurs secondaire et tertiaire, après quoi Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne comparaîtra pour sa part devant le comité économique aux affaires monétaires du parlement européen à Bruxelles.