Investing.com - Les options sur le brut oscillait entre légers gains et pertes minimes ce lundi matin, dans l'expectative des résultats américains du jour afin d'estimer les conséquences des 16 jours de paralysie ayant récemment frappé les administrations.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 98,00 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,15%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 97,51 USD, leur cours le plus bas du jour, et 97,95 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus conclure à 97,85 USD, avec une avancée de 0,76%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 95,95 USD, leur plancher du 24 octobre, et rencontrer de la résistance à 100,29 USD, leur plafond du 22 octobre.
Les Etats-Unis comptent en effet conclure la journée avec les chiffres de leur production industrielle, tandis que les poids lourds de l'immobilier les imiteront avec des informations sur les ventes de logements en cours.
L'attention était désormais rivée sur leurs prochains résultats, en quête d'indices sur les orientations futures de leur banque centrale.
Les yeux sont en effet rivés sur la Réserve Fédérale, à l'avant-veille de sa prise de cap mensuelle, bien que les rumeurs de fermeture de ses robinets avant que l'année prochaine soit bien avancée aient perdu toute crédibilité.
Les autorités des Etats-Unis avaient constaté vendredi la troisième déception consécutive causée par les commandes de biens durables du pays pour le mois dernier, et la révision vers le bas du moral de leurs ménages vers son pire niveau près d'un an pour celui en cours.
Ces contre-performances ont du coup consolidé l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale ne fermerait pas les robinets avant que l'année prochaine soit bien entamée, sur fond de craintes concernant les conséquences des 16 jours de paralysie des services officiels.
Les cours ont subi une tendance baissière ces dernières semaines, dans la crainte que la mise à pied partielle des fonctionnaires nuise à l'expansion économique, et donc aux besoins pétroliers.
Les réserves d'or noir du pays avaient accumulé 5,2 millions de barils au cours de la dernière semaine mesurée, pour en totaliser 379,8 millions, leur volume le plus important depuis le 28 juin.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont gagné 0,75% pour grimper à 107,75 USD du baril dans le même temps, soit 9,75 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 98,00 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,15%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 97,51 USD, leur cours le plus bas du jour, et 97,95 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus conclure à 97,85 USD, avec une avancée de 0,76%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 95,95 USD, leur plancher du 24 octobre, et rencontrer de la résistance à 100,29 USD, leur plafond du 22 octobre.
Les Etats-Unis comptent en effet conclure la journée avec les chiffres de leur production industrielle, tandis que les poids lourds de l'immobilier les imiteront avec des informations sur les ventes de logements en cours.
L'attention était désormais rivée sur leurs prochains résultats, en quête d'indices sur les orientations futures de leur banque centrale.
Les yeux sont en effet rivés sur la Réserve Fédérale, à l'avant-veille de sa prise de cap mensuelle, bien que les rumeurs de fermeture de ses robinets avant que l'année prochaine soit bien avancée aient perdu toute crédibilité.
Les autorités des Etats-Unis avaient constaté vendredi la troisième déception consécutive causée par les commandes de biens durables du pays pour le mois dernier, et la révision vers le bas du moral de leurs ménages vers son pire niveau près d'un an pour celui en cours.
Ces contre-performances ont du coup consolidé l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale ne fermerait pas les robinets avant que l'année prochaine soit bien entamée, sur fond de craintes concernant les conséquences des 16 jours de paralysie des services officiels.
Les cours ont subi une tendance baissière ces dernières semaines, dans la crainte que la mise à pied partielle des fonctionnaires nuise à l'expansion économique, et donc aux besoins pétroliers.
Les réserves d'or noir du pays avaient accumulé 5,2 millions de barils au cours de la dernière semaine mesurée, pour en totaliser 379,8 millions, leur volume le plus important depuis le 28 juin.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont gagné 0,75% pour grimper à 107,75 USD du baril dans le même temps, soit 9,75 USD de mieux que leurs homologues américaines.