Investing.com - L'euro a campé sur ses positions face au dollar U.S. ce mardi, après que les ministres des finances européens aient rejeté la proposition de restructuration émise par les créanciers de la Grèce et destinée à éviter un défaut de paiement.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2988 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3012, retrouvant ainsi sa position de l'ouverture.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2874, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.3052, son plafond des treize derniers jours datant du même jour.
Après leur réunion à Bruxelles, les représentants de la zone euro ont demandé aux détenteurs privés d'obligations d'abandonner leurs exigence à la baisse suivant laquelle les nouveaux bons du trésor qu'ils obtiendraient en échange des anciens verraient leur taux se situer à 4%.
La nation hellène a déclaré ne pas être prête à payer plus que 3.5%, soutenue en cela par l'Union Européenne et le Fonds Monétaire International.
L'accord de rééchelonnement est la condition sine qua non pour qu'Athènes bénéficie de la prochaine tranche d'aides financières et évite ainsi un défaut de paiement lorsque 14.4 milliards d'euros d'obligations arriveront à terme le 20 mars.
La monnaie unique a toutefois serré les rangs après qu'Olli Rehn, commissaire aux affaires économiques et monétaires de l'Union Européenne, ait estimé qu'un concensus devrait être dégagé "dans les jours qui viennent".
Elle a par ailleurs gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.06% pour se hisser à 0.8364.
La zone euro dévoilera aujourd'hui les évaluations préliminaires de l'activité des secteurs manufacturiers et tertiaire, imitée par la France et l'Allemagne, mais aussi avec le volume des nouvelles commandes industrielles officielles de la région, préfigurant la production à venir.
Les ministres des finances de l'Union Européenne se réuniront quand à eux à Bruxelles pour tenir de nouvelles discussions tout au long de la journée.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2988 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3012, retrouvant ainsi sa position de l'ouverture.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2874, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.3052, son plafond des treize derniers jours datant du même jour.
Après leur réunion à Bruxelles, les représentants de la zone euro ont demandé aux détenteurs privés d'obligations d'abandonner leurs exigence à la baisse suivant laquelle les nouveaux bons du trésor qu'ils obtiendraient en échange des anciens verraient leur taux se situer à 4%.
La nation hellène a déclaré ne pas être prête à payer plus que 3.5%, soutenue en cela par l'Union Européenne et le Fonds Monétaire International.
L'accord de rééchelonnement est la condition sine qua non pour qu'Athènes bénéficie de la prochaine tranche d'aides financières et évite ainsi un défaut de paiement lorsque 14.4 milliards d'euros d'obligations arriveront à terme le 20 mars.
La monnaie unique a toutefois serré les rangs après qu'Olli Rehn, commissaire aux affaires économiques et monétaires de l'Union Européenne, ait estimé qu'un concensus devrait être dégagé "dans les jours qui viennent".
Elle a par ailleurs gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.06% pour se hisser à 0.8364.
La zone euro dévoilera aujourd'hui les évaluations préliminaires de l'activité des secteurs manufacturiers et tertiaire, imitée par la France et l'Allemagne, mais aussi avec le volume des nouvelles commandes industrielles officielles de la région, préfigurant la production à venir.
Les ministres des finances de l'Union Européenne se réuniront quand à eux à Bruxelles pour tenir de nouvelles discussions tout au long de la journée.