Investing.com - Les options sur le brut ont conclu au plus bas niveau en deux semaines et demie, la nervosité se trouvant exacerbée à l'approche de la prochaine prise de cap de la banque centrale des Etats-Unis, sur fond de flou concernant l'avenir de ses coups de pouce.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 104,63 USD le baril à la clôture des transactions, avec un faux pas de 0,82%.
Ils auront ainsi laissé échapper 3,24% hebdomadaires.
La nervosité était palpable après que les résultats peu glorieux publiés hier par les Etats-Unis aient ravivé les inquiétudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale dès cette année.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Son équivalent dévolu au commerce a pour sa part déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 4,2% le mois dernier, alors qu'un saut de puce de 1,3% seulement était anticipé.
Leur poussée de 3,7% avancée pour mai a d'autre part été revue jusqu'à 5,2%.
Celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, ont par contre stagné, au lieu d'amasser les 0,5% pressentis.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
La frilosité s'est aussi trouvée exacerbée après qu'il ait été souligné que la première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière de la Chine établie par HSBC avait plongé depuis les 48,2 définitifs précédents vers 47,7 pour juillet, sa pire valeur en onze mois, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les cours avaient grimpé mardi après-midi, bien que l'institut du pétrole américain n'ait constaté la disparition que de 1,4 millions de barils dans les stocks des Etats-Unis, au lieu des 2,6 millions pressentis.
Les inventaires ont cependant régulièrement montré que la consommation augmentait ces derniers mois.
Les chiffres du produit intérieur brut et de l'état du secteur manufacturier des Etats-Unis seront au centre des débats de la semaine prochaine, en quête d'indices sur l'état de leur économie, de même que le communiqué mensuel de la Fed sur sa politique monétaire, comportant des indices de première importance sur les évolutions futures de ses mesures.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont pour leur part trébuché de 0,01% vendredi pour glisser à 107,11 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec un une érosion de 1,22%, pour s'établir à 2,48 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 104,63 USD le baril à la clôture des transactions, avec un faux pas de 0,82%.
Ils auront ainsi laissé échapper 3,24% hebdomadaires.
La nervosité était palpable après que les résultats peu glorieux publiés hier par les Etats-Unis aient ravivé les inquiétudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale dès cette année.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Son équivalent dévolu au commerce a pour sa part déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 4,2% le mois dernier, alors qu'un saut de puce de 1,3% seulement était anticipé.
Leur poussée de 3,7% avancée pour mai a d'autre part été revue jusqu'à 5,2%.
Celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, ont par contre stagné, au lieu d'amasser les 0,5% pressentis.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
La frilosité s'est aussi trouvée exacerbée après qu'il ait été souligné que la première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière de la Chine établie par HSBC avait plongé depuis les 48,2 définitifs précédents vers 47,7 pour juillet, sa pire valeur en onze mois, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les cours avaient grimpé mardi après-midi, bien que l'institut du pétrole américain n'ait constaté la disparition que de 1,4 millions de barils dans les stocks des Etats-Unis, au lieu des 2,6 millions pressentis.
Les inventaires ont cependant régulièrement montré que la consommation augmentait ces derniers mois.
Les chiffres du produit intérieur brut et de l'état du secteur manufacturier des Etats-Unis seront au centre des débats de la semaine prochaine, en quête d'indices sur l'état de leur économie, de même que le communiqué mensuel de la Fed sur sa politique monétaire, comportant des indices de première importance sur les évolutions futures de ses mesures.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont pour leur part trébuché de 0,01% vendredi pour glisser à 107,11 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec un une érosion de 1,22%, pour s'établir à 2,48 USD de mieux que leurs homologues américaines.