Vendredi midi en Europe, le baril de Brent de mer du Nord livrable en octobre corrigeait de 0,9% à 43,9 dollars, le WTI américain de livraison septembre cédant 0,9% à 41,6 dollars.
Tombé de 52,9 dollars le 9 juin, son plus haut niveau annuel, sur les 41,5 dollars les 2 et 3 août, le Brent vient ensuite d'entamer un rebond. Hier, il a même dépassé les 44 dollars en séance. Bref, les deux barils ont repris environ trois dollars depuis le milieu de la semaine.
Pour les analystes de Commerzbank (DE:CBKG), 'comme aucune annonce particulière ne pouvait justifier la hausse de la veille, on serait tenté de penser qu'il s'agit d'un mouvement de couverture de positions courtes'.
En effet, ajoutent les spécialistes, 'il est clair que nombre d'opérateurs ont été pris à contre-pied lorsque l'EIA américaine a fait état mercredi d'une évolution inattendue des stocks pétroliers aux Etats-Unis'. En effet, ces chiffres se sont révélés haussiers, avec notamment une nette baisse des réserves d'essence, ce qui a pris en défaut les investisseurs qui spéculaient sur la baisse.
'Les positions spéculatives courtes (à la vente) avaient presque doublé ces cinq dernières semaines', rappelle Commerzbank, ce qui peut expliquer l'ampleur du rebond.
EG
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Tombé de 52,9 dollars le 9 juin, son plus haut niveau annuel, sur les 41,5 dollars les 2 et 3 août, le Brent vient ensuite d'entamer un rebond. Hier, il a même dépassé les 44 dollars en séance. Bref, les deux barils ont repris environ trois dollars depuis le milieu de la semaine.
Pour les analystes de Commerzbank (DE:CBKG), 'comme aucune annonce particulière ne pouvait justifier la hausse de la veille, on serait tenté de penser qu'il s'agit d'un mouvement de couverture de positions courtes'.
En effet, ajoutent les spécialistes, 'il est clair que nombre d'opérateurs ont été pris à contre-pied lorsque l'EIA américaine a fait état mercredi d'une évolution inattendue des stocks pétroliers aux Etats-Unis'. En effet, ces chiffres se sont révélés haussiers, avec notamment une nette baisse des réserves d'essence, ce qui a pris en défaut les investisseurs qui spéculaient sur la baisse.
'Les positions spéculatives courtes (à la vente) avaient presque doublé ces cinq dernières semaines', rappelle Commerzbank, ce qui peut expliquer l'ampleur du rebond.
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