Investing.com - L'euro a fait bonne figure face au dollar U.S. ce jeudi, les investisseurs guettant les mises en ventes de dettes gouvernementales espagnoles et françaises à venir en cours de journée, tandis que les négociations concernant la restructuration de la dette grecque restaient en igne de mire.
La paire EUR/UDF est montée jusqu'à 1.2878 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis vendredi, puis s'est stabilisée vers 1.2856, trébuchant de 0.05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2733, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.2878, son plafond du jour.
La France doit en effet émettre des bons du trésor à long terme pour la première fois depuis la perte la semaine dernière de son triple A chez l'agence de notation Standard & Poor's, tandis que l'Espagne prévoyait de proposer aujourd'hui jusqu'à 4.5 milliards d'euros.
Les négociations entre Lucas Papademos, premier ministre grec, et les créanciers privés du pays ont pour leur part repris hier, après avoir été interrompues la semaine dernière en raison de désaccords sur l'importance des pertes que devront essuyer des derniers lors de l'échange de leurs titres.
Le pays doit dégager un consensus concernant la restructuration de sa dette afin de se voir attribuer la nouvelle tranche des capitaux de secours, et ainsi éviter un défaut de paiement lorsque 14.4 milliards d'euros d'obligations arriveront à terme le 20 mars.
La monnaie unique a par ailleurs grignoté quelques pouces de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0.02% pour se hisser à 0.8333.
Les autorités des Etats-Unis divulgueront cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi qu'un rapport sur l'inflation des prix à la consommation, un autre sur les lancements de chantiers, et unu autre concernant l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie, sans oublier le volume des nouveaux inscrits au chômage mesuré par le gouvernement.
La paire EUR/UDF est montée jusqu'à 1.2878 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis vendredi, puis s'est stabilisée vers 1.2856, trébuchant de 0.05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2733, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.2878, son plafond du jour.
La France doit en effet émettre des bons du trésor à long terme pour la première fois depuis la perte la semaine dernière de son triple A chez l'agence de notation Standard & Poor's, tandis que l'Espagne prévoyait de proposer aujourd'hui jusqu'à 4.5 milliards d'euros.
Les négociations entre Lucas Papademos, premier ministre grec, et les créanciers privés du pays ont pour leur part repris hier, après avoir été interrompues la semaine dernière en raison de désaccords sur l'importance des pertes que devront essuyer des derniers lors de l'échange de leurs titres.
Le pays doit dégager un consensus concernant la restructuration de sa dette afin de se voir attribuer la nouvelle tranche des capitaux de secours, et ainsi éviter un défaut de paiement lorsque 14.4 milliards d'euros d'obligations arriveront à terme le 20 mars.
La monnaie unique a par ailleurs grignoté quelques pouces de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0.02% pour se hisser à 0.8333.
Les autorités des Etats-Unis divulgueront cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi qu'un rapport sur l'inflation des prix à la consommation, un autre sur les lancements de chantiers, et unu autre concernant l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie, sans oublier le volume des nouveaux inscrits au chômage mesuré par le gouvernement.